la rencontre I

[F4M] La rencontre I [Script offer] [rape] [French] [histoire] [éjaculation forcée] [Fdom douce] [attaché] [peur], un peu de [contrôle mental] et d'[hypnose] et de [télépathie].

A Script Written By SofConMac (c).

J'adore GWA, mais il n'y a que peu de choses en Français. Comme je suis un peu en panne d'inspiration ces temps-ci, je propose des version françaises de mes scripts. Donc voilà: la même histoire que [The encounter I](https://pastebin.com/V36BaM6k), mais en français! Ce n'est pas exactement une traduction, certains effets sont ajoutés, d'autre, qui ne marchent pas en français, supprimés. [Cette dame](https://cosmicwolfstorm.tumblr.com/image/75355002379) vient vous voir. Si vous êtes gentil, vous aurez une gâterie, et même des mots gentils insérés dans votre esprit. Ce script est le premier d'une série, mais je ne sais pas si je ferais les autres en Français. Dites-moi si ça vous plait / si vous avez envie de lire la suite / si vous avez envie d'en faire un audio en Français, j'ai l'impression que le second script, en particulier, est à peu près intraduisible. Si vous avez des critiques constructives, des idées complémentaires, n'hésitez pas! Si l'image vous plait, et que vous pouvez l’imaginer vous faire ce qui est décrit dans le titre, ce script devrait vous plaire...

Comme pour tous mes scripts, j'écris d'abord pour mon plaisir et ensuite pour qu'une des merveilleuses dames de GWA (et il y en a des françaises!) en fasse un audio. Vous pouvez suivre ce script à la lettre, ou faire toutes les variations possibles, dans tous les cas, j'en serais ravi.

[Entre crochets] se trouve tout ce qui me parait intéressant, mais n'a pas a être dit: indications de ton, idées d'effets sonores, remarques dérisoires de votre serviteur.

(Entre parenthèses) se trouve les mots que la dame en scaphandre met dans l'esprit de l'auditeur. Oui, c'est une chose qu'elle peut faire... Son ton est doux et un peu aérien, rassurant, mais aussi clairement dominant. Il s'agit souvent de mots séparés, et d'impératifs, mais ils ne sont jamais aboyés comme des ordres. Elle veut influencer l'esprit de l'auditeur, le droguer en quelque sorte, mais pas le blesser, lui nuire ni l'humilier. Idéalement, Cette voix se superpose à la narration. Elle peut ne venir que d'un côté, comme ça, avec un casque audio, on a l'impression qu'elle est très près de soi, et cela rompt la sphère d'intimité de l'auditeur, et, j'espère, donne un effet qui correspond à de la télépathie.

{Entre crochets}, ce que pense l’auditeur/victime. Il y a parfois des groupes de lettres plus ou moins aléatoires, il correspondent à l'activité désordonnée du cerveau de l'auditeur, due au mélange de honte, d’incompréhension, de peur et d’excitation sexuelle que la victime ressent. Vous pouvez essayer de les prononcer comme ils viennent, ou faire n'importe quel bruit exprimant les émotions de la victime. L’excitation sexuelle ne s'entend pas, à mon avis, dans la voix de la victime.

Enfin, l'indication la plus importante pour celle souhaitant enregistrer ceci: faites ce que vous voulez de ce script.

[Très calme et relaxant, comme une séance d'hypnose.]
[L'auditeur est allongé sur son lit.]
Écoute-moi.
Ferme les yeux, respire profondément, et laisse ma voix guider ta respiration.
[lentement, au rythme d'une respiration calme]
Inspire,
Expire,
Inspire,
Expire.
Chaque fois que tu inspire, laisse ma voix entrer en toi.
Chaque fois que tu expire, laisse tes soucis te quitter.
Inspire, et ma voix te berce,
Expire, et tous les ennuis du quotidien s'en vont.
Continue a respirer, calmement, tranquillement, et écoute ma voix.
Tu es en sécurité ici, au calme, et tu peux te laisser aller, te reposer, et écouter ma voix.
Ma voix qui te délivre, ma voix qui te dit: Oublie.
Oublie tout. Les factures, le boulot, ces gens stupides avec qui tu doit parler, à qui tu dois plaire...
Oublie-les.
Oublie-les, et laisse moi te raconter une histoire.
Laisse ma voix entrer en toi, et te guider le long de l'histoire que je te raconte.
Laisse ma voix entrer dans ton cerveau, et lui apporter cette histoire.
Ton cerveau fera les effets spéciaux.
Il est très, très fort pour ça.
[pause]
Par moments, tu seras peut-être étonné, apeuré peut-être même.
Mais ne t'en fais pas.
Peut-être aimes-tu avoir peur quand rien de grave ne peut t'arriver.
Rien de grave ne peut t'arriver ici, au chaud, quand tu m'écoute.
Tu sais que ce n'est qu'une voix qui te parle...
Ma voix qui te raconte une histoire...
Tu sais que rien de mal ne peut t'arriver quand ma voix te parle.
Tu sais que ma voix te mènera à bon port, au bout de cette histoire, qui finira comme elle commence.
Tu sais que cette histoire commence comme elle finira:
Elle commence, comme elle finira, par toi, tranquille, dormant sur ton lit.
[Toujours très calme. Certaines choses dites sont effrayantes, mais rester calme en les disant. Il faut que l'auditeur, même s'il a peur de ce qu'il entend, sente dans le ton que tout finira bien. Il y aura des choses sexuelles, mais là encore, garder un ton calme de quelqu'un qui raconte une histoire, et une diction régulière, un peu rythmique, qui aide à l'hypnose.]
Imagine-toi en train de dormir dans ton lit.
Tu dors dans ton lit,
au milieu de la nuit.
Tu dort tout nu, étendu sur ton lit,
au milieu de cette douce nuit d'été.
[pause]
Tu rêve...
Tu rêve que la lumière s'allume dans ta chambre, et te réveille.
Imagine...
Des sangles enlacent tes poignets, tes chevilles.
Elles sont douces, elles ne font pas mal, mais elles te maintiennent, attaché, sur ton lit.
Les sens-tu? Essaye de t'échapper...
Essaye de les rompre.
Le sens-tu? tu ne peux pas...
tu es attaché sur ton lit.
Tu es, attaché, sur ton lit.
Les yeux éblouis ne voient qu'une ombre au dessus de toi...
Une ombre qui se précise, en une chose belle et effrayante...
Un corps de femme, sa tête, ses bras, sa poitrine, au dessus de toi, qui t'observe.
Un corps de femme, mais enveloppé dans un scaphandre, sombre, noir et bleu, couleur de nuit.
Comme un être venu d'une autre galaxie, d'une autre dimension, d’un futur lointain.
Et cette chose, debout, immobile, sur ta gauche, à quelques centimètres de toi, te regarde.
Qui est-elle ?
Qu'est-elle ?
Imagine-la, qui te regarde, ton corps nu, sanglé sur ton lit.
Et imagine les sangles, qui enveloppent tes poignets, tes chevilles, et te maintiennent sur ton lit.
Et imagine ce scaphandre qui l'enveloppe, elle.
Et imagine les formes épurées des protections luisantes, qui couvrent ses membres.
Ses bras...
Ses jambes...
Et imagine encore, entre elles, cette matière souple, lisse, mate, et infiniment noire qui recouvre son corps.
Sans un pli, sans un défaut, sans une couture.
Et elle, dans cette armure de nuit, dressée devant toi.
[pause]
Rien n'est visible que ce qui la recouvre.
Est-ce une femme, dans cet habit étrange ?
Ou bien, un robot, fait pour paraitre féminin ?
Ou bien, un être venu d'un autre monde ?
Comment savoir ?
[pause]
Et maintenant, essaye d'imaginer sa face, son masque.
Pas un visage, mais une face privée de toute humanité, de tout sentiment.
Une face sans bouche, sans nez, sans rien qui dise ni ne sente.
Mais à la place un épais et court museau, dur et luisant.
Des câbles, des tubes, sortent de lui, et filent vers l’arrière de son crâne, hors de ta vue.
Aucun mot, aucun souffle, aucune émotion, rien ne sort de cette face.
En guise d'yeux, deux grands miroirs d'ombre, à facettes, comme des yeux d'insecte.
Des yeux qui ne voient pas, mais qui collectent froidement des données sur toi.
Les analysent, prennent des décisions, rapides, définitives.
Des décisions de vie et de mort, en quelques millisecondes.
Des yeux qui te considèrent, t'analysent, décident à propos de toi.
Imagine cette face, ces yeux posés sur toi.
Et tes yeux, fixant les siens, comme ceux d'un lapin pris dans le regard d'un serpent.
Elle te considère, toi.
Nu, sanglé sur ton lit
Elle, debout devant toi, immobile.
[pause]
Et puis {Oh, mon dieu!} elle s'anime,
et sa main va vers ton visage.
Dans un mouvement sûr, mais doucement, sans hâte.
Tu es terrifié, tu n'ose bouger, tu n'ose faire le moindre bruit, ni même respirer.
Imagine cette main parcourant une courbe gracieuse vers ton visage,
tandis qu'un frisson d'horreur parcours ton échine.
L'intérieur de sa main, de la paume au bout de ses doigts graciles, est couverte de cette matière noire et douce.
Et maintenant, ses doigts touchent ton front.
Ils sont doux et tièdes, mais ce contact te fait frissonner.
[pause]
Ils n'ont pas la douceur de la peau humaine, mais une autre, qui leur est propre.
Ils sont, peut être, plus doux encore que la peau d'une femme.
Et tu sens sa main gauche glisser ainsi doucement le long de ton front, de ta pommette, de ta joue, de ta bouche, de tes lèvres...
Et cette caresse , si lente, si régulière, si douce, te donne un étrange frisson...
Un frisson, où la peur et le désir se mélangent en un sentiment étrange et nouveau pour toi.
Le désir...
Oui, le désir.
{Dieu!}
Tu ne comprend pas ce qui t'arrive.
Tu ressens du désir face à cette apparition, venue d'un autre monde...
Cette femme, cette chose, qui qu'elle soit, debout devant toi te donne du désir...
Elle te caresse avec une attention, une douceur, que tu ne pensais pas voir venir de cette figure de cauchemar.
[pause]
Sa main continue de glisser vers le bas, le long de ton cou, et tu sens ses doigts se poser sur tes carotides.
Si doucement...
Tu sens les pulsations de tes artères contre ses doigts.
Tes artères, l'implorant de ne pas les déchirer...
Tu te sens comme une bulle de savon qui peut éclater à chaque instant.
[pause]
Mais sa main reste douce, et elle continue son voyage le long de ton corps, descendant vers ton torse...
Tes yeux toujours fixés sur les oculaires miroités de son masque...
Sa main caresse ton ventre, et tu réalises que ton sexe est en train de durcir.
{Mon Dieu, non!} [avec honte]
[avec un sentiment d'urgence, la situation d'étrange devient catastrophique]
Quelle honte...
Il y a devant toi cette femme, cette chose étrange, dont tu ignore tout de ce qu'elle est, de ce qu'elle veux.
Tu sais seulement qu'elle peut t'ôter la vie à tout instant.
Et ton sexe trouve ce moment-là pour se rappeler à ton attention, et pour lui montrer ce désir dont tu ne veux pas, mais que tu as...
Quelle honte...
Quelle catastrophe...
[pause]
[Retour au ton "écoute mon histoire"]
De honte, tu baisse les yeux, et tu entrevoit sa main...
Sa main qui descend...
[pause]
Sa main, qui enveloppe ton sexe.
[pause]
Cette matière douce, tiède, sombre, qui enveloppe ton sexe.
[pause]
Tu en trembles, et un grognement sourd sort de ta bouche.
{putain, mais c'est pas possible?!?} [sidéré, incrédule]
Tu fermes tes yeux, tu essaye d'effacer de ton esprit ce que tu viens juste de voir, mais, dieu, tu la sens toujours.
Cette main douce.
Cette matière moelleuse, lisse et chaude.
Enveloppant...
Enveloppant...
Enveloppant ton sexe.
[pause]
[La voix de la dame en scaphandre est toujours très douce et chaude. Elle est un peu éthérée, On peut y ajouter un peu de réverb pour la rendre plus aérienne. Cette voix vise toujours à rassurer l'auditeur et à l'amener à accepter ce qui arrive. La dame en scaphandre n'est pas que gentillesse et don de soi, loin de là, elle est manipulatrice, elle veut obtenir la soumission totale de l'auditeur, son acceptation de ce qui, en définitive, est un viol. Mais elle cherche à parvenir à ses fins en douceur. Elle sait que l'auditeur est terrorisé, elle n'a donc pas besoin d'inspirer la peur. Elle rajoute une note douce et aimable qui indique à sa victime que si son obéissance est totale, les choses se passeront bien.]
Et des pensées étrangères t'envahissent, des pensées qu'elle envoie dans ton esprit.
Pendant que son autre main parcours ton corps à son tour.
Caresse ton front. (N'aie pas peur.)
Caresse ta joue. (Regarde moi.)
Caresse ta bouche. (Tout va bien.)
Caresse ton cou. (regarde mes yeux.)
Caresse ton torse. (Plonge dans mes yeux.)
Caresse ton ventre. (Plonge.)
Et alors, sa main gauche quitte ton sexe. (N'aie pas peur.)
Et alors, ta frustration te fait baisser les yeux,
Et alors, tu vois cette main qui quitte ton sexe.
[pause, silence: que va-t-il se passer?]
[très lentement, pour maintenir le suspense]
... et puis, qui disparait derrière son dos...
... et puis, qui revient, qui revient vers... (oui.) [sous entendu, oui, elle revient vers son membre]
... tenant quelque chose...
[maintenir la tension. La voix de la dame en scaphandre est douce, mais l'auditeur est attaché...]
Une chose... étrange. (Elle te veux.)
[pause]
Une espèce de cylindre. (nourris-là.)
Couleur de nuit et d'espace. {quoi? que... merl... non! pitié, ne...}

Des tubes en sortent, qui courent vers l’arrière de son scaphandre.
                     (n'aie pas peur.)                       (Aucun mal.)

[A partir d'ici, la dame au scaphandre va beaucoup parler de plaisir, de jouissance. A mon avis, elle ne parle pas sur un ton sexuel. D'abord, elle ne cherche pas à séduire sa victime qui est attachée, et, comment dire, prête à l'emploi. Ensuite, elle cherche à rassurer, et donc n'a pas intérêt à montrer son appétit. Enfin, elle ne va pas jouir ici, c'est lui qui va jouir, perdre contrôle, tandis qu'elle se contrôle parfaitement, et le contrôle, lui.]

Et clairement, ce cylindre est en route vers ton sexe.
                                                (Plaisir.)

Ton sexe qui palpite.
            (Jouissance.)

Comme s'il avait pénétré le rôle joué par cette chose...
                (Accepte.)
[pause]
Pénétré...
[pause]   (ne lutte pas.)
Oui: pénétré. [le mot peut être répété deux ou trois fois, en appréciant sa sonorité]
[pause]
[incrédule, panique] {Dieu, non! que...}
Ton sexe est absorbé dans cette chose, cette pompe. (Laisse-la faire.)
[paniqué, incohérent] {Eh! que... Bordel, pitié! je...}

Dont l'intérieur est fait de la même matière surnaturellement douce et tiède que la  paume de ses gants.
                                     (Accepte.)                                 (Laisse-moi faire)

Mais lubrifiée, glissante, mucilagineuse... (Nourris-la.)
Et cette membrane tendre se remplit d'une pulsation... (Ne pense plus.)
...Qui te fait perdre de vue le monde, le réduit à peu de choses: (Regarde mes yeux.)
Les sangles qui lient tes chevilles et tes poignets. (Accepte.)
Les mains de cet être qui caressent ton visage. (Laisse-toi faire.)
Ses yeux immenses et sombre dans lesquels tu te noie. (Plonge.)
Et l'exquise torture que ton sexe reçoit. (Je ne te ferais aucun mal.)
[pause]
Cette chose qui a englouti ton sexe coulisse, en haut, en bas, et en haut, et en bas, et encore, et encore...
                                    (Nourris-la.)                                         (Laisse-la faire.)

Ses doigts experts et gantés massent et délassent chaque point de tension sur ton visage.
                             (Ne lutte pas.)                                  (Ne pense pas.)

Cette face devant tes yeux, si inhumaine, est aussi si belle, épurée, comme celle d'une déesse technologique.
                           (Fixe-la.)                                 (Plonge.)

Ta peur t'a quitté à présent: elle peut te tuer si elle le souhaite, cela t'est égal.
                              (C'est bien.)                          (je ne fais pas le mal.)

[La voix de la dame en scaphandre est toujours douce et chaude, elle cherche toujours à calmer l'auditeur, à le rassurer, à lui faire accepter ce qui lui arrive. La voix de la narration peut se faire plus véhémente, à la mesure des évènements qui, disons... se précipitent...]
Le paradis obscur qui engloutit ton sexe se fait plus étroit, mais aussi si possible plus glissant.
Cette chose veut sa pitance.
Cette chose exige sa pitance.
Elle va l'extraire de toi.
La pomper hors de toi.
Tu ne sais rien d'elle, mais elle sait déjà tout de toi:
Comment se jouer de toi,
Comment briser ton esprit,
Comment faire fondre ta volonté,
Comment te mener à implorer, à supplier
Comment te mener à lui donner sa pitance, à la nourrir, à te vider en elle, que cela te plaise ou non.
Et tu sais déjà que tu ne résistera pas longtemps.

Pendant ce temps, ses mains continuent de caresser ton visage.
Pendant ce temps, sa face, son masque, ces deux grands miroirs d'ombre, continuent d'obséder ta vue. (Plonge.)

Tu sais que tu ne durera plus longtemps, déjà des frissons de plaisir parcourent tes poignets et tes chevilles entravées.
                                 (Abandonne.)                    (Laisse-toi faire.)                                (Accepte.)

Et puis, de petits mamelons se mettent à effleurer ton sexe. (Laisse-toi aller)
Et leur contact est à à la fois comme un baiser et une brûlure. (Je ne te ferais aucun mal.)
Et tu es si tendu par le plaisir, ta respiration est si irrégulière, si courte, (Ne lutte pas.)
Et tu demande si tu ne va pas t'évanouir. (Ne pense pas.)
Ce masque, cette face, sont la seule chose que tu vois. (plonge en moi.)

Tu essaye tant de résister à ce qui t'arrive, à ce qu'elle t'impose, mais tu ne peux plus, vraiment, tu n'en peux plus.
                                    (Ne lutte pas.)              (Laisse-moi faire)                      (nourris-là.)

Et, juste à l'instant où tu t’apprête à céder, à capituler, l'un de ces mamelons te touche,
                                       (Cède.)                                (Maintenant.)


juste au bon endroit, à la base de ton gland, sur le dessus de ton sexe, et se met à vibrer.
                       (Laisse-moi faire.)                                      (Maintenant.)

Et tes dernière résistances explosent. (Laisse-toi faire.)
Envoyant des ondes de choc à travers ton corps. (Laisse-toi engloutir.)
Tes chevilles, te poignets sont comme électrocutés par ce plaisir immense. (Voici pourquoi tu me laissera toujours faire.)
Ses mains sur ton visage envoient des étincelles de plaisir. (Savoure.)
Tu les voit presque voler autour de toi. (Regarde en moi.)

Et l'image de sa face, brutalement technologique, s'imprime dans ton esprit.
                       (Plonge.)                 (C'est bien. Tu as fait le bon choix.)

[rythmiquement, un peu comme un mantra.]
Cette face donne le plaisir.
Cette face est le plaisir.
Accepte cette face.
Regarde-la.
Elle est le plaisir.
Accepte ce plaisir.
Accepte cette face.
Accepte.
[Longue pause]
[La narration retourne à son ton calme.]

Lentement, ton plaisir se retire, laissant derrière lui les petites étincelles qui éclatent en toi, ici et là.
Et tu sens ton sexe qui finit de se vider, de se donner, de nourrir cette chose qui l'a absorbé. (Accepte.)
Et tu réalise que tu es en train de pleurer. (Tout est bien.)
Sa face et toujours là, comme ses mains sur ton visage. (Tu l'as nourrie.)
Ses mains qui essuient tes larmes, doucement, tendrement. (C'est fini, maintenant.)
Que s'est-il passé ? Que se passe-t-il ? (Je t'ai donné le plaisir.)
Comment est-ce possible ? Pourquoi ? (Car tu as renoncé à te défendre.)

Ton cerveau cherche désespérément à trouver la signification de tout cela,  tandis que tu pleure dans les bras de cette chose.
                    (Ne pense pas.)                                    (Accepte.)

 Cette chose venue d'ailleurs te donner l'instant de plaisir le plus intense que tu n'aie jamais vécu.
(Sent seulement. Donne lui sa pitance, et accepte le plaisir qu'elle te donne.)
[pause]
Son autre main revient vers ton visage, tenant un masque entre ses doigts. (Je vais te donner la paix.)
Un masque respiratoire, de nuit, comme elle. (Regarde la paix.)
C'est un baiser qu'elle va te donner, fait d’anesthésique et de polymères. (Ressentir la paix est doux.)
Un baiser étrange et doux, et qui lui va si bien. (Regarde la paix venir sur toi.)
Tes yeux plongés dans les siens, tu sens ce masque se poser sur ton visage. (Accepte.)
Embrasser ton visage. (Inspire.)
Et, tu inspire. (expire.)
Et, comme tu expire, ton esprit se défait. (Ne lutte pas.)
Il se dissipe, comme une fumée (Accepte la paix.)
Son masque magnifique et étrange n'est plus qu'une image que ton œil enregistre. (Tu fais ce qu'il faut.)
Et ce qui arrive ensuite est inconnu de ton corps, abandonné à elle. (Je ne te ferais jamais de mal.)
Ton corps nu, étendu sur ton lit, au milieu de cette douce nuit d'été.