Tu as été une personne que j'aime énormément, une personne importante pour moi, une personne qui a toujours été là pour moi, qui, quoiqu'il arrive, arrivait toujours à me soutenir, à me défendre, à me protéger. Je t'ai toujours considéré comme un proche, un membre de ma famille, un confident. Avec toi, je pouvais absolument tout dire. << Etre moi-même>>, ne rien cacher. J'avais une confiance aveugle en toi. Je te disais tout, tu savais absolument tout les détails de ma vie. Ce que je faisais, avec qui, mes engueulades, mes moments de joie et de peine. Et tu as toujours su être présent et me soutenir quoiqu'il arrive. Tu es la personne que j'étais capable de téléphoner, à 5h du matin un jour de l'an, pour juste pouvoir se raconter notre soirée. Tu as toujours eu peur de n'être rien pour moi. Jusqu'à aujourd'hui, tu représentais beaucoup. Pour toi j'étais prête à beaucoup. J'ai toujours essayé de te rassurer, de te réconforter, de te prouver que tu étais un de mes proches, de te prouver que tu n'étais pas rien, que tu comptais dans ma vie. Tu n’imagines pas ce que ça fait. D'avoir quelqu'un de ''joueur'' qui me comprenne parfaitement, et à qui tu peux tout dire. Car rencontrer quelqu'un comme ça, qui peut te comprendre à 100% c'est rare et mon dieu, tu n’imagines pas la place que tu avais dans mon cœur et dans ma vie.  A chaque fois, depuis que je te connais, si j'avais un souci, tu répondais présent et tu étais toujours là pour moi, et pour ça, je te serai éternellement reconnaissante, car tu as été d'une précieuse aide dans des moments où j'en avais réellement besoin.
Te concernant, j’ai toujours été honnête avec toi, je t’ai toujours tout confié, je t’ai toujours tout révélé. J’ai toujours tout accepté venant de toi, ta jalousie, tes crises, tes prises de têtes et tes stalks permanent. Car au final, ça prouvait à quel point tu tenais à moi, et je savais que je pouvais gérer ce genre débordement dans ton comportement. Pour toi, j’étais prête à beaucoup (peut-être même un peu trop ?), à te réconforter dès que tu en avais besoin, à te donner l’attention que tu réclamais dès que tu voulais, à passer des heures à m’expliquer avec toi pour te rassurer (jusqu’à en finir en pleure). Et je m’en foutais, car tu étais l’un de mes proches.
Cependant, j’ai toujours fais en sorte de te dire comment je fonctionnais, je pardonne tout, j’accepte tout. Mais pas qu’on me trahisse ou qu’on s’en prenne à mes proches : c’est impardonnable. Tu as abusé de ma confiance et tu as déformé la majeur partie mes propos auprès des personnes de ta guilde. Tu as humilié une personne avec qui je suis devenue proche (amitié, et rien d’autre.), en te servant de légers faits réels que je t’ai confiés pour déformer la réalité. Tu m’as exposé, trahie, menti. Tu as abusé de ma confiance et tu t’es servi de moi pour essayer de retourner des personnes contre nere. Pour toutes ces choses-là, je ne veux plus de toi dans ma vie, pour toutes ces choses là, je veux plus jamais entendre parler de toi, pour toutes ces choses-là tu n’existes plus pour moi. Contrairement à ce que tu pourrais penser, je ne te << détruirais >> pas. Je ne ferai rien de ce que tu peux imaginer. Et pourtant, toi et moi savons parfaitement que je peux réduire à néant toute ta vie sociale et ig si je me mets à déverser tout ce que je sais aux personnes appropriées. A présent, tu es libre de moi, tu es libre de toutes << obligation de respect envers moi>>, tu es libre de faire ce que tu veux, sans avoir à te justifier, tu es libre de dire ce que tu veux, à qui tu veux, car à partir de maintenant, tu ne représentes plus rien pour moi.
Je te souhaite une bonne continuation, en esperant que tu arrives à trouver ce que tu cherches, et que cette trahison, cette humiliation arrive à t’apporter ce que tu veux dans ta vie. J’espere que les amis que tu as reussi à te faire grâce à ca seront toujours là pour toi quoiqu’il arrive.
Concernant Kuro, il est libre de faire ce qu’il veut. Mais si tu lui parles pour avoir un lien avec moi, pour lui poser des questions sur moi, pour m’atteindre ou me blesser en t’en prenant à lui. Je peux te garantir que tu regretteras que ton cancer ne t’ait pas emporté.