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Feb 18th, 2020
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  1. Journaliste britannique du journal ''Daily Mail'' G. Ward Price :
  2.  
  3. « Leurs préjugés anti-juifs durent renforcés par le rôle joué par cette race dans les soulèvements communistes qui contribuèrent beaucoup à parachever l'œuvre désastreuse de la guerre. En Allemagne avant la guerre, le fait d'avoir du sang juif dans les veines n'avait rien de très gênant. Les Juifs ne pouvaient pas devenir officiers mais toutes les autres professions leur étaient ouvertes et de riches israélites comme Ballin, l'armateur de Hambourg, étaient même des amis intimes du Kaiser. Mais, dans la confusion qui régna après la guerre, l'Allemagne fut envahie par des Juifs venus de Pologne et de Galicie. La cause de cette migration tenait à l'effondrement de la devise allemande qui fournissait aux Juifs des pays voisins l'occasion tant souhaitée de réaliser de gros profits. A cette époque, quiconque arrivait en Allemagne nanti de devises étrangères, pouvait acheter une affaire, une maison ou n'importe quels autres biens-fonds à des prix fantastiquement bas. Le Juif, parti de Lemberg ou de Cracovie avec l'équivalent de quelques centaines de livres aterling, une fois à Berlin faisait figure de capitalistes et possédait assez de ressources financières pour donner libre cours à son habileté commerciale. Ces incursions étaient encore facilitées par le fait que la langue yiddish, parlée par les Juifs de Pologne et de Galicie, est un dialecte allemand. En outre, sous la République, l'entrée et la résidence en Allemagne n'étaient soumises qu'à de simples formalités. Les vrais Allemands considéraient cette immigration comme un danger pour la culture nationales, car les Juifs de l'étranger n'apportaient avec eux que des principes fondés sur le matérialisme international. Et tandis que ces représentants les plus sordides de la race juive profitaient du marasme de l'Allemagne, les intellectuels de la même origine prenaient d'assaut les carrières libérales. Bien que les statistique indiquassent que le nombre de Juifs inscrits dans les synagogues formât seulement un pourcent de la population totale de l'Allemagne, 45 pourcent des professeurs de la Faculté de Médecine de Berlin étaient juifs lorsque Hitler arriva au pouvoir ; et l'on a la preuve que les praticiens juifs des trois principaux hôpitaux municipaux de Moabit, de Friedrichshain et de Neukölln, formaient respectivement 56, 63 et 67 pour cent de tout le corps médical de ces établissements. Les médecins et les chirurgiens juifs étaient nombreux même dans les hôpitaux catholiques. Sous la République, dans trois des principaux ministères, les fonctionnaires chargés des rapports avec le public étaient juifs. La proportion des avocats juifs variait de 29 pour cent à Dortmund, à 64 pour cent à Francfort, 66 pour cent à Berlin et 67 pour cent à Breslau. Les Juifs étaient les maîtres de la Bourse de Berlin. Sur 324 directeurs de théâtre en Allemagne, 50 étaient juifs et, à Berlin, il y en avait quatre sur cinq. Les magasins de confection et les magasins à succursales multiples étaient pratiquement le monopole des Hébreux. Enfin, ce qu'il y avait de plus intolérable aux yeux des nazis, c'était que la presse populaire et l'édition se trouvaient en majeure partie contrôlée par des Juifs dont les plus représentatifs étaient Ulstein et Rudolf Mosse, présidents de deux grands trusts. » (*Je connais ces dictateurs*, p. 150-152)
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