Je suis l'être créateur de se monde, et depuis le jour de sa naissance, je n'ai cessé de veiller sur cet univers, je parcours se vaste vide, allant de planète en planète, j'observe les habitants. A vrai dire j'observe le cœur des habitants.
Partout dans le monde, quand on né, nous avons un cœur blanc, d'une pureté inimaginable et d'une valeur inestimable, malheureusement au court de l'existence d'un habitant son cœur se noircit, ou change de couleur, cela dépends de se qu'il a vécu.
Je vais vous compter l'histoire d'un habitant, au cœur différent, il vivait sur la planète Terre.
Son cœur était blanc à la naissance, comme tout l'univers, mais les années passèrent, et son cœur commençait à disparaître, il devait transparent, à sa dix-septième années, on ne voyait plus le contour de son cœur.
Si je devais le décrire sous les yeux d'un autre habitant. Il est gentil, quelqu'un sur qui on peut compter, intelligent, amical, sympathique, a l'écoute de tout le monde. Un être parfait mais superficiel.
Il était apprécier de tout le monde, mais les appréciait-il ? Qui l'aimait vraiment ? S'aimait-il ?
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-Mon chéri tu pourrais aller m'acheter quelque chose a la supérette ? Lui demanda sa mère
-Oui, tu veux quoi ? Lui demandait-il
Après avoir eue une liste il sortait en rollers, les écouteurs aux oreilles.
Il passa devant une boutique de vieux livres, qui se situait juste à côté du supermarché, il s'arrêta devant pour partir quand un monsieur l'interpella
-Jeune homme, tu sembles intéresser par l'un de mes livres, veux-tu entrer ? Lui proposa un vieillard qui essayait de s'appuyer sur sa canne
-Pourquoi pas répondit-il en entrant
Il aida le vieillard à se ré-assoir.
Il lui tendit un livre noir, sans titre, sans couverture.
-Je te l'offre, je veux vider cette boutique et prendre ma retraite continua-t'il
-Merci, mais je ne peux pas l'accepter répondit le jeune homme en se levant
Le vieillard attrapa sa main et posa le livre dans sa main
-J'y tiens vraiment insista-t'il
Le jeune homme était intrigué, mais finit par oublier, il acheta se qu'il fallait et rentra à la maison.
Après avoir fais tout ce qu'il fallait, il se posa dans son lit, et commença à lire le livre. Il fut littéralement absorber par le livre, il n'avait jamais lut aussi vite, aimer et accrocher aussi vite. Il vit qu'il y avait une suite, il voulait aller la demander au vieillard malheureusement il était trop tard.
Alors il s'endormit sur la pensée du vieillard
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Le cœur du jeune garçon, se colorait d'une douce couleur jaune de curiosité, quelque chose que se garçon n'avait jamais eue.
Il se demandait comment pouvait être l'auteur, d'où il avait eut ces inspirations ? Pourquoi n'avait-il pas de couverture ? Pourquoi ? Comment ? Quand ?
Il se dit que demain il cherchait sur lui.
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Le lendemain, il trouve l'adresse email de l'auteur et lui en envoya un

" Bonjour,

J'ai lus votre livre, avec la couverture noir et sans titre. J'ai tellement de questions, je ne sais pas par où commencer, d'où viens votre imagination ? Cette histoire ? Pour ne peut-elle pas être heureuse ?
Je vous admire et j'aimerais vous rencontrer. Je comprends que cela puisse être très bizarre, mais je suis un grand fan de votre histoire, j'ai par ailleurs, vu qu'il y avait une suite, j'ai hâte

Bonne journée à vous,
Un grand Fan. "

Puis il partit revoir le vieillard, qui l'attendait le sourire aux lèvres, sans rien dire il lui tendit la suite, le jeune garçon je remercia plusieurs fois avant de rentrer et commencer la lecture.
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Deux semaines plus tard il avait reçu une réponse

" Bonjour cher fan *3* !

Votre mail m'as vraiment fais plaisir ! C'est tellement touchant de recevoir des mails comme ça, surtout quand votre morale est à zéro. Ce serais long à expliquer à l'écris, vous voir serais un plaisir ! Je suis vraiment contente que vous ayez aimé, j'ai souhaité à ce que mon livre ne sois pas énormément publier, mais voir votre mail me fais très très plaisir !

Merci !
D'un être à un autre "

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Les échanges par mails se sont multipliés, ils se voyaient, passaient du bons temps ensembles, ils avaient une relation fusionelle. Le cœur du jeune garçon ressemblait à un arc-en-ciel de sentiment, beau et pure.
Durant ma vie d'être immortel, tout les cœurs viraient aux noirs, alors que le sien, était juste unique
Du orange de joie avec plusieurs nuances, de la curiosité mauve, et de l'excitation jaune citron, du vert pastel au vert foncé de plaisir, mais aussi du rouge d'amour., intense et unique.
Ils s'aimaient, comme jamais je n'avais vu, leurs cœurs en parfaite harmonie. Leur bonheur durait et rien ne pouvait l'arrêter ou presque
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Un jour elle disparu, sans un mot, comme si elle n'avait jamais existé. Son numéro n'était plus, sa présence n'était plus.
Son cœur commença à devenir gris, bleu marine, marron, la peur, la triste, la trahison, prenait le contrôle de son cœur, il était perdu, déséquilibré, il avait peur pour la première fois, comme il l'a aimer pour la première fois. La seule chose qu'il lui restait d'elle, c'était son livre.
Le dernier tome, qui parlait de maladie, et de falaise, de suicide.

Il fut prit d'une peur, d'un pressentiment, il avait peur, peur de savoir se qu'il allait arriver, peur d'arriver trop tard.
Il prit un taxi, lui hurla de se rentre dans la forêt, leur forêt. Leur première rencontre.
Il lui hurlait qu'il lui payerait le triple si il y arrivait en moins de 10 minutes

Il courrut, trebucha, se releva, retomba, se releva, les larmes l'empêchaient de bien voir, il se sentait mal.
Quand il arriva devant la falaise et la vie
-Pourquoi, pourquoi ... Tu ne m'as rien dis lui demanda t'il
-Je voulais pas gâcher ces instants les plus précieux de ma vie lui répondit-il en souriant pitoyablement
-Un cancer ça se cache pas, pas à moi lui dit-il
-Alors tu as compris ? Lui demanda t'elle
-Oui ... vient maintenant dit-il en s'approchant de la falaise
-Viens à moi, mon amour dit-elle
Il arriva le plus rapidement à elle et s'enlacèrent,
-Je t'aime, ma mort est prédite, je mourrai demain, je veux pouvoir choisir ma mort, ici à notre première rencontre, je suis incapable de bien respirer, je suis désolée, j'espère que tu me pardonneras, sache que je t'aime finit-elle en le repoussant et en se laissant tomber de la falaise

Le cœur de l'Homme qui etait arc-en-ciel, devint noir, noir comme le néant, il fut consumer par la haine en une fraction de seconde
L'homme hurla sa haine de toute ses forces, à faire trembler la Terre, il hurla et fit sortir toute les larmes de son corps, quand il finit par se relever, le visage neutre, le regard vide, il avança
-Attends moi mon amour, finit-il en sautant