Lettre aux ministres, maires, ECDC...

Monsieur le Ministre,

Je vous implore, face à la pandémie de Covid-19, de mettre en place sur-le-champ, tant au niveau national qu’au niveau mondial, un régime d’exception concernant la circulation des biens et des personnes. En effet, les caractéristiques de ce nouveau virus font craindre un possible effondrement civilisationnel, voir même un évènement d’extinction humaine. Voici pourquoi :


-Transmission asymptomatique confirmée. Dès les premiers soupçons de cela (cas bavarois), les mesures que je vous invite à prendre auraient dues être prises. Ajoutons à cela jusqu’à 10 % de cas asymptomatiques (porteurs sains). Nous avons tous priés que cela ne devienne pas une pandémie, mais ce virus avait toutes les caractéristiques pour provoquer une pandémie mondiale. IL EST TEMPS D’AGIR.

-Très longue période d’incubation : les premières mesures de quarantaine ont apparement facilité la dispersion de souches du virus ayant une période d’incubation supérieure à 14 jours, au moins 24 jours. Par mesure de précaution, une quarantaine stricto sensu (40 jours de confinement), semble être nécessaire.


-Transmissible par le souffle (aérosol fin), et donc par l’air (ventilation, de pièce en pièce, d’appartement en appartement) au-delà d’une simple contamination par les gouttelettes de sécrétions infectées), confirmée par les autorités chinoises. Si le virus n’en était pas capable au début de l’épidémie (ce qui serait aussi le cas pour la contamination asymptomatique), il a gagné en transmissibilité au fil du temps, les souches les plus contagieuses contaminant le plus de personnes. Le reste des transmissions est à priori possible : salive, sang, selles, urine, et par les surfaces infectées. Ce virus peut survivre 9 jours à température ambiante dans un milieu sec, 3 semaines sur une surface humide, et un mois sur une surface réfrigérée.


Ces trois caractéristiques suggèrent un R0 bien plus élevé qu’estimé au début de l’épidémie. Les chiffres chinois sont clairement sous-estimés. Je crains d’ailleurs que le Salon de l’Agriculture aurait du être annulé, car même des agricultureurs des recoins les plus ruraux de l’Hexagone et au-delà (Nouvelle-Calédonie, Réunion, Antilles) se sont déplacés à Paris pour l’occasion, pouvant disséminer le virus à l’ensemble du territoire français. Des spots télévisés concernant les mesures de prévention et les symptômes doivent être diffusés à partir de demain.


-Un réservoir bactérien (https://osf.io/ktngw) Si ces conclusions sont correctes (intégration puis lysogénie dans une des bactéries les plus courantes du microbiote intestinal), cela pourrait expliquer pourquoi on assiste à des rechutes. Un lavement/purge et une dose massive d’antibiotiques expérimentaux sont nécéssaires, car les Prevotella sont résistantes à la quasi-totalité des antibiotiques courants. Les patients guéris pourraient devenir des bombes à retardement sans cela. Les selles doivent être stérilisées (brulées, passées à la Javel concentrée)

-L’absence d’immunité pour les coronavirus pathogènes : au contraire, les études sur le SRAS ont montré une augmentation de la mortalité lors de la seconde infection, et ce virus semble se comporter de la même façon.
Si on vous a vendu le COVID-19 comme une solution au vieillissement de la population, on vous a menti ; si on vous l’a vendu comme une solution à la surpopulation, cela équivaut à débroussailler au missile nucléaire.
 Il y a une bonne raison pour laquelle nous ne connaissions pas de coronavirus hautement pathogène avant le XXIème siècle : il est probable que toutes les populations qui ont été en contact avec ceux-ci au cours de l’Histoire aient été exterminées.
Cela semble lié au phénomène de facilitation par les anticorps (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais) comme pour le virus du SRAS (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25073113 ; ). Ajoutons à cela la rapidité de mutation des souches d’un individu à un autre, limitant les chances d’obtenir un vaccin ou d’utiliser un sérum et augmentant les chances d’ADE. Cela pourrait expliquer la mort de jeune personnel médical, ou la sévérité de l’épidémie en Iran, qui semble bien supérieure à 20 %, et rappelle le SRAS. L’autre option serait que des souches bien plus léthales sont apparues (https://doi.org/10.1128/JVI.00127-20). Si chaque survivant est porteur de sa propre souche du virus, mortelle pour quiconque autre que lui-même, il n’y aura même pas de « reconstruction » possible. Il n’y aura même pas de «monde post-apocalyptique » possible.


Les caractéristiques de ce pathogène, allié aux campagnes d’apaisement ou de désinformation des Etats et à l’action malveillante de fanatiques (secte Shincheonji ; possiblement même administration Trump, nous savons l’influencence de l'évangélisme sur leur politique isralo-palestitienne, ils interprêtent sans doute cette pandémie comme le Cheval Blanc de l’Apocalypse et un signe annonciateur de la Parousie qui ne doit pas être arrêté) nous ont clairement plongés dans une pandémie mondiale. Nous avons toutes les raisons de penser que la majorité des grands foyers de population mondiale sont déjà infectés par ce pathogène.

Toutefois, un espoir subsiste : le retour au niveau mondial, pour éviter une propagation du virus jusqu’à la mise au point d’un traitement/vaccin, au système des lazarets portuaires post-Peste Noire. Non pas pour laisser les gens y mourir, mais pour éviter une suppression de l’approvisionnement (en nourriture, en matériel médical, d’hydrocarbures...) tout en réduisant les risques de contamination. Les livreurs d’un point A à un point B déposent leurs marchandises, restent en isolation 40 jours ou repartent tout de suite, celles-ci sont décontaminées (chaleur, UV-C, désinfectant, 9 jours à 20°C), puis acheminées par une autre équipe du point B au point C.
Il nous faut ralentir les flux pour éviter de les voir cesser. Et ce au niveau mondial, inter-étatique et intra-étatique. Le transport de passagers doit cesser, les bourses du monde doivent être fermées, le cours des monnaies gelé. Le monde entier doit être en guerre pour la survie de la civilisation. Je sais que la tâche est dantesque, mais nous n’avons pas connu une telle menace sur la France et l’Humanité depuis la crise des missiles de Cuba. Sauf qu’il est impossible de raisonner un virus.
Si des pays comme l’Islande, des secteurs du pays comme la Guyane, Mayotte ou St-Pierre-et-Miquelon peuvent être épargnés, ils doivent l’être. Si nous échouons, il nous faut des Béarn des temps modernes, des zones entières gardant une population non infectée et sauvegardant la civilisation, et la culture française.

Je pense particulièrement que de telles mesures de cordons sanitaires sont un espoir réel, mais le seul, pour des pays potentiellement épargnés pour l’instant mais très pauvres et incapable de gérer une telle pandémie comme le Timor oriental, Tuvalu, Haiti. L’OMS n’est que dans la réaction, et vous vous préparez à soigner les malades (ce qui est noble), mais nous devons aller au-delà. La réponse de type "grippe pandémique" est inappropriée du fait de la non-immunité des survivants.

Dois-je vous rappeler que pour profiter de l’économie, il faut d’abord être en vie, puis qu’il y ait assez de personnes pour commercer avec vous ?

Pleurez un bon coup, puis agissez. Mettez vos familles à l’abri, puis agissez pour la sauvegarde de la France et de l’Humanité. On ne saurait laisser l’Humanité s’éteindre, à l’exception de quelques tribus en Amazonie et dans les îles Sentinelles. Persisterait-elle seulement dans quelques îles reculées, mais civilisées.


Je ne suis qu’un ancien étudiant en microbiologie, suivant depuis plus d’un mois l’évolution de l’épidémie et désespérant de la persistance de l’OMS à rester dans la simple réaction. Tout se passe comme dans mes prévisions, j’ai l’impression que l’humanité est une voiture coincée sur un passage à niveau qui va être percutée le train COVID-19. Après m'être préparé individuellement, et être resté sidéré face à la menace, j'ai décidé d'essayer de pousser la voiture. IL FAUT ETRE PROACTIF. C’est ainsi que les Chinois ont réussi à ralentir grandement la propagation du virus, par des mesures drastiques. Il faut maintenant faire de même partout dans le monde. Ce virus est bien plus transmissible que le CAPS (virus fictif de l’Event 201), et une réponse basée sur cette simulation n’est pas suffisante.


Merci d’avoir lu mon pavé alarmiste, mais basé sur des faits.

Puissions-nous tous être vivants dans 5 ans,