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Guest User

xyz

a guest
Sep 16th, 2012
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  1. Monsieur le Proviseur,
  2.  
  3. Si je vous écris cette lettre, moi, étudiant de seconde, c'est que je suis rentré dans votre lycée il y a deux semaines, et que ce fut l'une des expériences les plus désagréables de ma vie.
  4.  
  5. Le soit-disant établissement éducatif que vous dirigez est un des nombreux endroits que toute personne sensée saurait éviter avec le plus grand mépris (avec entre autres les prisons, les stades de foot et les magasins nike.). C'est un véritable dépotoir humain. Vous concentrez ici les anomalies de l'humanité, aussi bien jeunes que vieilles.
  6.  
  7. Je ne suis respecté ni par les vieux cons liquides qui me servent de professeurs ni par les huîtres (rapport au QI) anémiques qui devraient être mes camarades. Chaque fois que je prend le bus, soit chaque matin, j'ai l'impression que je vais vivre un enfer, et dans la journée cette impression se réalise.
  8.  
  9. Je vous méprise. Je méprise cet endroit. Je méprise tous ceux qui y mettent les pieds. Pour diriger cette institution, vous méritez la mort. Pour encourager un rassemblement d'abrutis complets, votre lycée mérite, lui, la purification par le feu et par le bulldozer, ainsi que tous les gens qui y sont présents.
  10.  
  11. Je suis malheureusement obligé d'y aller, ne disposant pas encore des droits de la majorité. Je me ferai un plaisir de quitter ce goulag et tous les connards qui le fréquentent le plus vite possible. Vous pourriez pourrir trois ans de ma vie, mais non, je vais prendre le dessus, je l'ai déjà pris. Je n'ai rien à foutre de tout ce que vous pourrez dire et faire sur moi. Je suis simplement là pour vous faire vivre un enfer. Cette lettre visait simplement à vous signifier ce que je pense de vous, de votre école et des gens qui la fréquentent.
  12.  
  13. Mon verdict : Pour attentat aux lois du bon goût, de la décence et de la protection de l'état d'esprit noble dont peu de gens font encore preuve, je vous condamne, Monsieur Jean-Patrick Léocard, semi-mongolien de son état, à la pendaison par vos testicules sous-développées jusqu'à ce que mort s'ensuive. Votre bâtiment quant à lui sera brûlé et rasé, avec les personnes qui le fréquentent.
  14.  
  15. Veuillez agréer, Monsieur, la brûlure de mon fouet en travers de vos pitoyables épaules.
  16.  
  17. Un étudiant fort mécontent.
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