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POUR PAUL LE FDP

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Sep 29th, 2016
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  1. GESTION D'ENTREPRISE
  2.  
  3. Séance n°1 : Les fondements de la démarche entrepreneuriale
  4.  
  5. Comprendre la finalité de l'entreprise d'un point de vue économique
  6. Bien gérer son entreprise afin qu'elle soit pérenne et rentable
  7. Une entreprise contre-performante entraine
  8.  
  9. I – L'entrepreneuriat et ses caractéristiques
  10.  
  11. A – La logique entrepreneuriale
  12.  
  13. C'est une logique qui consiste à vouloir développer une logique entrepreneuriale
  14. Cette démarche est une notion qui faut toujours associer à celle d'opportunité
  15. La démarche entrepreneuriale est une démarche d'opportuniste
  16. Elle est liée à la conjoncture économique (la situation, problème au niveau du financement, pouvoir d'achat en baisse)
  17.  
  18. B – Les aptitudes d'un entrepreneur
  19.  
  20. L'entrepreneur a un rapport positif au risque (il prend conscience de ses actes, il est ambitieux)
  21. Il faut être opportuniste et avoir un sens de l'observation
  22. Les grands entrepreneurs sont toujours de grands stratèges
  23.  
  24. II – Les étapes de la création d'entreprise
  25.  
  26. A – Idée
  27.  
  28. Une bonne idée est une idée économiquement pertinente
  29. Tout part de l'idée, elle est entrepreneuriale
  30. Idée > doit être réalisable et doit générer de l'argent
  31. Ce n'est pas l'originalité qui paie, c'est la pertinence
  32. La question qu'il faut se poser : Qu'est-ce que vaudra cette idée dans quelques années ?
  33.  
  34. B – Business plan et financement
  35.  
  36. Business plan est utile à la fois à l'entrepreneur et aux investisseurs
  37. Il sert à ne pas partir aveuglement ; il doit être réaliste
  38. Présentation générale de l'entreprise et du projet (organigramme)
  39. Il faut mettre en avant l'aspect étude de marché, montrer qu'il y a un enjeu économique et parler de sa stratégie
  40. Il faut faire des comptes prévisionnels jusqu'à une échéance de 3 ans (SIG = solde intermédiaire de gestion)
  41. L'évolution doit être progressive, réaliste et crédible
  42. Il existe une multitude de statuts juridiques, il faut choisir le statut adapté
  43. Business plan = passeport nécessaire pour trouver un investissement
  44.  
  45. Modes de financement :
  46. Bancaire : grâce aux crédits bancaires, il faut que le business laisse apparaître une solvabilité aux banquiers
  47. Les banques exigent que les entreprises aient déjà des capitaux plus ou moins importants (1/3 de fonds propres, 1/3 d'auto financement, 1/3 de crédit)
  48. Investisseurs actifs (business angels): les start-up sont les plus prisées
  49. Financement participatif (crowdfunding) : mécénat, en retour les gens n'ont pas grand chose à offrir
  50. Micro-financement : Consiste à financer des projets qui n'ont pas accès à des prêts bancaires (exemple : ADIE)
  51. Tontine : association collective d’épargne, qui réunit des épargnants pour investir en commun dans un actif financier ou d'un bien dont la propriété revient à une partie seulement des souscripteurs, basé sur la confiance
  52. Recours au fonds publiques :
  53.  
  54.  
  55. C – Organigramme et statut juridique
  56.  
  57. Il existe une multitude de statuts juridique (SARL, SA...)
  58. Il faut s'enregistrer auprès de l'administration
  59. Certains entrepreneurs abandonnent à cause de la complexité administrative
  60.  
  61. D – Démarrage de l'activité et pérennisation
  62.  
  63. Il faut tout de suite prendre la casquette de commercial > il faut faire grossir le CA
  64. Pérennisation du projet va d'un point de vu gestionnaire amener l'entrepreneur à dégager de la rentabilité
  65. La rentabilité dépendra de la maitrise des dépenses ; il faut faire un sorte d'avoir un niveau de charge inférieur au CA
  66. On sait que le cap fatidique des jeunes entrepreneurs est le cap des 3 ans
  67.  
  68. GESTION D'ENTREPRISE
  69.  
  70. Thème 2 : L'impératif managérial et les systèmes d'objectifs
  71.  
  72. I – La nécessité d'une logique managériale
  73.  
  74. A – L'impératif de performance
  75.  
  76. La gestion d'entreprise doit avant tout être focalisée sur l'objectif de rentabilité
  77. La rentabilité va dépendre de l'évolution positive du CA, de la maitrise des charges et du niveau d'endettement de l'entreprise
  78. Une personne sera en charge de ces données quantitatives
  79. L'endettement n'est pas une maladie honteuse mais il ne faut pas se laisser dépasser par cette dernière (créancier = personne à qui on doit de l'argent)
  80. La fonction fondamentale de l'entreprise est de savoir répartir les tâches et gérer toutes les données
  81. Le management se base sur un travail de répartition et de coordination des activités
  82.  
  83.  
  84. B – Les missions du manager
  85.  
  86. La base de la méthodologie gestionnaire est la mise en place d'objectifs
  87. Une entreprise doit savoir se projeter dans l'avenir
  88. L'objectif est un but à atteindre et il se base sur des données quantitatives
  89. Les objectifs doivent être réalistes mais pour un bon fonctionnement il est important qu'il soit atteint, il doit être pensé de façon pertinente
  90.  
  91.  
  92. II – La mise en place des systèmes d'objectifs
  93.  
  94. A – la notion d'objectif
  95.  
  96.  
  97.  
  98. B – La complémentarité des objectifs
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