-Sans trop réfléchir, et parce que cette pause a dû détendre un peu l’atmosphère,
-je m’assois sur le rebord de mon lit et m’étire, comme empli dans tout mon corps d’une sensation étrangement paisible.
-Anonette pose sa bouteille vide.
-Elle me toise un instant avec considération.
-Il est difficile de ne pas remarquer, à ces joues rouges, que l’alcool a dû lui monter à la tête.
-Anonette : Dis Anon, je me demandais… On devrait se remettre au travail.
-Elle s’approche de moi, timidement, les mains noués derrière le dos.
-Anonette : Je voulais savoir si tu accepterais… Enfin évidement si tu es d’accord.
-Anonette : Et ne le prends pas mal, c’est vraiment pour améliorer notre connaissance du sujet.
-Elle est de plus en plus rouge ; j’ai l’impression qu’elle va bientôt exploser.
-Anonette : Et puis je comprendrais que tu refuses.
-Anon : Dis moi ce qu’il y a.
-Anonette : Bien voilà : je n’ai jamais vu de pénis avant. Est-ce que tu… … accepterais …
-Le souffle vient à lui manquer en plein milieu de sa question.
-Anon : Tu vas me demander de te montrer le mien, c’est ça ?
-Elle se fige et me fixe du regard.
-Anonette : ça te gène ?
-Anon : Non. Si tu penses que ça peut aider je vais te le montrer.
-Anon : Mais pas de bêtise avec, hein ?
-Je ne suis pas dupe. Je me doute bien où tout ceci est en train de nous mener.
-Obéir avec cette fausse nonchalance produit en moi une grande excitation.
-Je ne me serais jamais douté, quelques heures plus tôt, qu’on en arriverait là.
-Ayant défait ma braguette et sorti mon sexe, je perçois Anonette esquiver un regard de gourmandise, puis feindre ensuite une mine songeuse.
-Je me plais à penser qu’il ne s’agit que d’un jeu.
-Anonette : Je vais inspecter cela.
-Elle me regarde une dernière fois, avec cet air pensif de scientifique, mais incapable d’empêcher cette légère contraction, à la commissure de sa lèvre,
-à laquelle mon corps répond par un frisson qui me traverse tout entier.
-Je suis allongé, les jambes pendantes hors du lit.
-Anonette s’assoit à côté de moi puis approche son visage de mon aine.
-L’excitation est déjà en train de m’envahir mais, pourtant, je suis encore flasque.
-Anonette regarde l’engin sur différents angles avec curiosité. Elle a les sourcils froncés et la main sur le menton.
-Par instant, cette main semble se détacher d’elle pour venir saisir mon sexe, mais Anonette en stoppe aussitôt le mouvement.
-Anonette : Je peux toucher ?
-Sans oser me regarder, elle laisse maintenant sa main en suspend au dessus de mon pénis.
-Anon : Oui tu peux, mais ne le casse pas.
-Elle étouffe un rire en se saisissant de ma verge. Sa main est froide.
-Sur le bord de mon sexe, ses petits doigts fins me font comme des chatouilles.
-Elle me tourne délicatement dans tous les sens, elle me soupèse, elle m’étreint avec douceur… -L’excitation monte en moi et bientôt mon pénis devient très dur.
-Anonette : Ouah ! C’est comme tu disais, ton pénis devient dur et grossit.
-Anonette : Il est vraiment gros.
-Elle a la main encore posé sur moi quand elle me regarde à nouveau.
-Son regard est très obscène et sa langue vient de faire un rapide mouvement de va et vient sur le bord de sa lèvre.
-Anonette : Ça veut dire que tu es en érection ?
-Anon : Oui comme tu le vois.
-Anonette : Ça veut dire que tu es excité, n’est ce pas ?
-Mon ventre est en train de se nouer.
-Je retiens mon envie de la prendre dans mes bras : je veux encore jouer à ce petit jeu.
-Anonette essaie de me décalotter.
-Elle s’y reprend à plusieurs fois pour finalement faire rouler mon prépuce et découvrir le gland. -Elle reste très douce.
-En approchant un peu le nez, je la vois renifler le bout de ma bite comme un petit chat.
-Elle vient caresser avec délicatesse le méat de mon sexe, et un peu de liquide pré-éjaculatoire reste accolé à la pulpe de son doigt.
-Je retiens ma respiration : elle porte ce doigt à ces narines, renifle encore une fois puis, tout tendrement, la guide vers ses lèvres pour le sucer avec délice.
-Anonette déglutit.
-Anonette : C’est bon…
-Elle se tourne vers moi.
-Anonette : C-c’est du sperme ?
-Anon : Non, pas encore, c’est un liquide qui est secrété pour lubrifier le gland quand les hommes sont excités.
-Anonette : A-ah bon ?
-Anon : Tu n’as pas correctement révisé on dirait. Je crois que tu as besoin d’approfondir tes connaissances.
-Anonette me fait de grands yeux étonnés.
-Anonette : J-je peux ? Je veux dire. Tu es d’accord pour que je continues ?
-Anon : Comme tu veux.
-Elle hésite un instant en regardant mon sexe, mais je devine bien qu’elle a déjà fait son choix.
-Elle se saisit encore une fois de ma verge puis commence à la caresser.
-Anonette : Si tu es suffisamment excité, tu vas éjaculer c’est ça ?
-Anon : C’est ça.
-Anonette : Comment est-ce que tu fais pour te masturber et pour éjaculer habituellement ?
-Anon : Je vais te montrer.
-Alors qu’elle tient toujours mon pénis, je prends sa main dans la mienne et commence délicatement à lui indiquer le mouvement de va et vient.
-La douceur de ses petits doigts est exquise. Elle a l’air très concentrée à sa tâche.
-Anonette : C-c’est que… je voudrais voir ce que ça fait quand tu éjacules.
-Anon : Continue. C’est bien comme ça.
-Je lâche sa main et la laisse poursuivre seule.
-Toujours allongé, les jambes pliés en dehors du lit, je mets mes mains derrière la tête et profite du plaisir simple de reposer,
-tandis qu’Anonette, très consciencieuse, continue son exploration du sexe masculin.
-Alors que dans un premier temps elle opère avec un peu de maladresse, elle prend vite ses aises et donne à son geste une certaine élégance.
-La finesse de sa peau, le petit mouvement de son poignet, son attitude mêlé de désir et de curiosité, tout ensemble rendent ma verge dure comme le bois.
-Et cependant je ne viens toujours pas. Au bout d’un moment elle semble se fatiguer.
-Anonette : Tu n’éjacules toujours pas Anon.
-Anon : Désolé, ce n’est pas quelque chose qu’on peut contrôler comme ça.
-Anonette : C’est parce que je ne le fais pas bien, c’est ça ?
-Anon : Non tu le fais très bien. C’est très agréable. C’est juste que ça n’a pas l’air de suffire.
-Anonette regarde encore mon sexe alors qu’elle continue de me masturber.
-Elle ne dit rien, et ne me  jette même pas un regard quand elle approche à nouveau son visage de mon aine.
-Elle s’arrête tout près de ma verge.
-Il ne reste que quelques centimètres entre ses lèvres entrouvertes et le bout de mon gland.
-On devinerait presque l’attirance magnétique qui la guide peu à peu, jusqu’à mon sexe.
-Je brûle du désir qu’elle la mette enfin à la bouche, mais me retiens de faire un geste. Et puis, elle vient embrasser le bout de mon gland.
-La première fois, c’ est comme une bise ordinaire ; la seconde fois, je sens le bout de sa langue qui m’effleure entre ses lèvres.
-Elle s’essuie un coup la bouche.
-La troisième fois elle englobe mon gland tout entier.
-Je ne me peux m’empêcher d’échapper un soupir de plaisir : je me délecte de l’intérieur de sa bouche, chaude et humide.
-Elle entame bientôt d’accompagner de ses lèvres le mouvement de va et vient qu’elle produit toujours avec sa main.
-C’est comme si elle savait exactement ce qu’il fallait faire. Elle s’arrête à un moment.
-Anonette : Est-ce que ça te plaît Anon ?
-Anon : Oui, ne t’arrêtes pas.
-Tout en caressant sa nuque, je lui imprime une discrète pression pour qu’elle retourne vers ma verge.
-J’aime voir mon membre disparaître à l’intérieur de sa bouche.
-Je sens sa langue douce et visqueuse tourner autour de mon gland.
-Par moment, je devine le bout d’une dent sur le bord de mon sexe.
-Pour autant, cette maladresse ne parvient qu’à me chatouiller et rajoute encore au plaisir que me procure cette fellation.
-Anonette : (on pourrait rajouter des gros bruits de succion dégueulasse, juste une idée)
-Maintenant qu’Anonette a bien pris la main, elle se permet de lever ses deux yeux verts pour capter mon regard,
-et je sais que le plaisir qu’elle lit sur mon visage ne fait que rajouter à son excitation.
-Alors qu’elle tend son cou avec grâce, quelques mèches de ses cheveux me caressent le bas du ventre.
-Pour couronner le tout, elle échappe maladroitement quelques bruits de succion qui ne font que suggérer la délectation avec laquelle elle est en train de me sucer.
-Elle s’applique si goulûment à sa tâche que je suis tout près d’éjaculer.
-La fréquence de ma respiration s’intensifie, je commence à contracter les muscles de mon dos.
-Anonette doit bien s’être douté que je suis maintenant près de venir, elle continue de lécher le sexe avec d’autant plus d’application.
(On pourrait faire un choix d’éjaculer à l’intérieur de sa bouche ou non?
si on choisit d’éjaculer dans sa bouche ce qui est le choix patricien :)
-Son entrain achève de conclure l’ascension de mon plaisir :
-ma respiration se bloque, tous mes muscles se contractent, et je maintiens fermement sa tête alors que j’éjacule à l’intérieur de sa bouche.
-Anonette se fige et, avec de gros yeux étonnés, encaisse la charge déferlante dans sa gorge.
-J’éjacule en telle quantité qu’un peu de semence dégouline au coin de sa lèvre.
-Anonette retire lentement ma verge de sa bouche en prenant soin de bien la nettoyer cependant que ses lèvres glissent sur moi.
-Une fois qu’elle est sortie, sa bouche entrouverte laisse apercevoir une belle quantité de sperme.
-Elle maintient ses deux mains en réservoir sous son menton pour récupérer les filets qui débordent de sa bouche.
-Elle s’y prend à plusieurs fois pour tout avaler, en fronçant les sourcils.
-Anonette : C-c’est délicieux. (j’ai un peu honte d’écrire tout ça, mais c’est ce qui doit être fait).
-Elle récupère les dernières gouttes de semence qui ont dégouliné au coin de ses lèvres, ainsi que dans ses mains, et les inspecte avec intérêt.
-Anonette : C’est donc cela les sperme.
-Elle a joue toutes rouge et je sais qu’elle est excité comme il n’est pas permis.
-Finalement, elle vient lécher ses mains pour récupérer les dernière gouttes de semence.
-Anonette : C-c’est trop bon. C’était bien ? Ça t’as plu Anon ?
-Anon : Oui c’était parfait Anonette.
-Je me redresse. Je me tiens maintenant tout près d’elle et la regarde très sérieusement.
-Anone : C’est à mon tour d’étudier maintenant.
-Anonette a les yeux qui brillent, et je devine qu’elle se retient de sourire avec lascivité.
-Anonette : D-d’accord, mais attention parce que je suis vierge Anon.
-Anon : Je ferais très attention, promis.
-Nous changeons de place.
-Anonette s’allonge entièrement sur le lit.
-Elle a un dernier élan de réserve lorsqu’elle retire timidement sa jupe.
-Je vois sa petite culotte. (je laisse guadanon décider de ce qu’il y aura sur la petite culotte. Par ailleurs, quelqu’un avait suggéré que si on faisait un sans faute dans les questions de la première partie, on débloquait une culotte spéciale H2L)
-Anonette : Tu peux regarder, mais doucement hein ?
-Je m’approche de son aine.
-Quand je regarde sa culotte, je devine à travers le tissu la forme de ses lèvres,
-d’autant plus qu’elle a déjà mouillé, et que le tissu a absorbé une partie de cette moiteur.
-J’approche mes mains de sa culotte, puis la retire lentement.
-Sa vulve est fine et toute propre, quoique déjà humide.
-Un discret pelage roux et duveteux forme un petit triangle sur son pubis.
-Lorsque je commence à caresser ce duvet, il me rappelle celui qu’aurait un chaton.
-Anonette : Humm !
-Anonette se contracte alors que je commence à la caresser.
-Je commence à écarter tout doucement ses grandes lèvres.
-Elle n’arrive pas à empêcher sa main de saisir mon poignet.
-Anonette : Han ! Doucement Anon.
-Elle est déjà toute mouillée. Je reconnais l’entrée de son vagin et le petit bouton rose qu’est son clitoris.
-Anon : Je vais te toucher tout doucement Anonette.
-Anonette : Humm ! Oui fais attention s’il te plaît.
-Je commence à lui caresser avec délicatesse les grandes lèvre, puis les petites, et jusqu’à l’orée de son vagin.
-Plus je me rapproche, plus Anonette pousse des geignements de plus en plus vifs, puis termine par un long soupir voluptueux.
-Je viens titiller le bourgeon de son clitoris.
-Anonette: HAAA !
-Cette fois-ci elle se contracte violemment sous l’influence du plaisir.
-Encore une fois elle tend une main vers moi comme pour me signifier de ne pas aller trop vite, mais son geste est si mou que je comprends qu’elle ne doit en penser rien.
-J’aime voir cette fausse résistance retomber alors que je lui chatouille le clitoris.
-Anonette : Hum ! Han ! Ha !
-Des spasmes la secouent alors qu’elle se retient à peine de geindre.
-En la voyant, je m’imagine le bien que lui procure ce doigté, qui l’envahit toute entière en la faisant se cambrer et succomber de plaisir.
-Anonette : HAAAAAA ! (je sais pas qui va faire les voix mais elle va s’amuser...)
-Au bout d’un moment, elle pousse un cri de délivrance et je sais que je viens de déclencher l’orgasme.
-Puis son corps, qui était tétanisé, échoue tout flasque sur le lit.
-Anonette, essoufflée, tente vainement de faire des mouvements mais son tonus l’a complètement abandonnée.
-Au dehors, je constate que le soleil est en train de se coucher.
-Mon sexe est toujours en dehors du pantalon, et il est de nouveau très dur.
-Je rapproche mon visage du sien.
-Elle arrive à grand peine à ouvrir les yeux, son front et ses joues sont couvertes de sueur.
-Je commence à embrasser le bord de ses lèvres, baiser auquel elle répond mollement, encore exténuée.
-Puis nous nous embrassons.
-Quand elle a récupéré un peu de ses forces, elle vient caresser mon sexe, puis soulève un peu la tête pour le regarder.
-Anonette : Tu es déjà dur à nouveau. Tu es vraiment incroyable Anon.
-Elle me regarde en souriant pendant qu’elle se remet à caresser mon sexe avec sa main.
-Elle se mord la lèvre et prend une attitude un peu plus sérieuse quand elle imprime un discret mouvement de traction sur ma bite en direction de son vagin.
-Elle est encore totalement enivrée par le plaisir qui vient à peine de la submerger.
-Quant à moi, je sais bien ce qui doit être fait désormais.
-Je rapproche doucement mon gland de sa vulve.
-Anonette : Fais attention Anon. Sois doux s’il te plaît.
-Anonette : C’est ma première fois.
-Je fais un peu glisser ma bite entre ses lèvres toutes mouillées.
-L’expression d’Anonette est mêlée de plaisir et d’appréhension.
-Au moment où je commence à positionner mon gland à l’orée de son vagin, elle se fige.
-J’avance tout doucement. Je sens son hymen m’opposer une légère résistance alors que mon gland coulisse entre ses lèvres, puis je la pénètre tout entier.
-Anonette : Ah !
-Anonette pousse un petit cri de douleur.
-Je m’arrête. Un peu de sang coule sur le bord de sa cuisse.
-Anon : Ça va Anonette ?
-Anonette : Ça fait mal.
-Anon : Ça va passer.
-L’intérieur de son vagin est chaud et étroit.
-J’ai l’impression qu’il m’enserre tout autour de la verge comme s’il cherchait à m’aspirer.
-Anonette se détend un peu. J’entame doucement d’abord quelques mouvements de rein.
-Anon : Est-ce que ça va ?
-Elle ne me répond pas, mais je vois que les rides de son front s’efface, que sa mâchoire se détend et que les muscles de son corps se relâchent petit à petit.
-Son corps commence à répondre à mes mouvements de saillies.
-Et je reconnais, à ces geignements devenus plus doux, qu’elle est en train de ressentir du plaisir.
-Nous nous enlaçons.
-Son bassin confortable accueille le mien parfaitement.
-Quant à mon sexe, il continue d’être enserré par les parois douces de son vagin.
-Il est comme aspiré par son antre chaude et humide.
-Sans même nous concerter, nous nous ôtons les derniers vêtements qu’il nous reste.
-Je retire mon haut et Anonette le sien.
-Ses petits ou moyens (j’arrête de me battre) seins pointent dans les airs ;
-je viens les titiller avec ma langue tandis que je la monte plus sauvagement encore, ce qui produit chez elle comme un élan de jouissance.
-A nouveau je la prends dans mes bras et pour la première fois je sens son corps nu contre le mien.
-C’est à ce moment que je réalise tout à fait que nous sommes en train de faire l’amour :
-je saisis tout d’un coup que nous sommes deux être en train de s’unir sous les rayons crépusculaires du soleil qui filtrent encore sur nous, et pour un dernier instant avant de disparaître.
-Mes assauts se multiplient contre elle. Je la sens trépider contre moi.
-Mon excitation est en train de grandir en même temps que la sienne, et je commence à sentir que je suis prêt d’éjaculer.
-Ma respiration se fait de plus en plus saccadée, la fréquence de ces geignements s’accélère, je la serre contre moi, son tonus se contracte, je la prends, elle pousse un cri.
-Anonette : (cri de jouissance)
-Nous atteignons l’orgasme en même temps.
-Mon sperme remplit sa cavité.
-Il nous faut quelques instants avant de reprendre nos souffles et nos esprits, pendants lesquels nous restons accolés l’un contre l’autre en nage.
-Anonette : C-c’était intéressant.
-Je rit.
-A l’intérieur de son vagin, mon sexe est en train de redevenir flasque peu à peu.
-Je me retire doucement.
-Anonette m’embrasse puis nous nous relevons.
-Au dehors la nuit vient tout juste de tomber.
-Anonette : Et bien Anon, il va falloir que je rentre chez moi.
-Anonette : Mais j’espère bien que nous allons reprendre nos révisions dès demain…
FIN