Participation Concours d'écriture.

<titre>La légende d'une reine devenue déesse: Le Déchaînement.</titre>

Comment cela a-t-il pu arriver, ici, dans la région d'Alénes, une région pourtant tranquille et civilisée anciennement...
Comment se fait-il que personne n'a réagis à temps? Etait-ce voulu par nos dieux tant aimés? Tant de questions qui enchaînaient mon esprit... J'avais pourtant tout fait pour éviter cela... et pourtant... je n'aurai peut-être pas dû.

Les bruits de la guerre assourdissaient toujours mes oreilles, douleur perpétuelle, que j'avais assez de supporter, mes yeux carbonisés par les flammes de la haine envers ceux qui avait fais cela, toujours pas apaisée, mon coeur devenu de pierre a cause de la stupidité et la lâcheté du peuple d'Alènes, et même de toute la région. Alènes, capitale de notre ancienne région. Tant de beauté déchirée, que dis-je, souillée par ces impurs, ces impurs que j'avais protéger...

Quand notre peuple a été frappé par des guerriers voulant conquérir notre région, j'ai pourtant tout fait pour résister, et appeller mon peuple a tenir bon, je les ai aidés dans leur misère... pourtant, ils m'ont trahie...

Le jour de ma funeste exécution, tous me regardaient, avec leurs yeux emplis de pitié fausse, voire d'empathie qu'ils s'obligeaient d'afficher, ils me croyaient stupide...

Mon bourreau arrivant avec sa hache, prêt a détruire le dernier bastion de nôtre nation, moi, la reine Athéna, celle qui avait pourtant TOUT donner pour son peuple... Ce peuple, me regardant, toujours sous leur faux airs de compassion...

Alènes était complêtement assiégée, vestiges d'une ville si belle, si pure que tant d'hommes voulaient s'approprier... Et ceux-ci y étaient finalement arrivés...

Le sifflement mortel de la hache traînée par mon bourreau, son si calme qu'on pourrait presque en oublier la finalité: ma mort.
La hache fût brandie, tel la faucheuse... Je ne me débattis point, je restis calme, jusqu'à la fin... Le vent chanta sa dernière chanson, la hache tomba, le temps s'arretis, la nature pleura, ma tête tombis...

Nos assaillants applaudirent, signe de leur victoire. Comment faisais-je pour entendre? Même moi je ne le savais pas encore... je sentais mon âme, mon esprit s'envoler, sortir de mon corps, puis s'arretta... des visions m'arrivèrent...
Deux de nos dieux m'apparurent, me touchèrent... et d'un coup, je ressentis une force sunaturelle en mon âme, incompréhensible et ils me disèrent:
Toi, reine Alèna, pour tout ce que tu as fais pour Alènes, tu ne vas pas mourrir comme cela, tu vas continuer a être la Gardienne, la Protectrice d'Alènes... et notre fille... Maintenant, accomplis ta destinée, que tu as toujours voulu accomplir...

Je me sentais incontrolâble, trop puissante, trop de force, trop de sentiments, trop en moi... Et je ne pû retenir ma colère... Le ciel devint sombre, la temps se distordit, la nature cria, la peur se sema dans les esprits de ces impurs...
Et c'est ainsi que mon courroux se déchaîna, les météorites tombèrent, les ouragans frappèrent, les tsunamis noyèrent, ...

Alènes était maintenant complêtement en ruine... les assaillants et la quasi totalité du peuple de toute la région étaient morts, la vie s'était arrettée, sur ma belle région et capitale d'Alènes...

Mes parents descendirent une fois de plus du ciel, m'appèllerent définitivement leur fille, et me renomèrent Athéna, déesse de l'Intelligence et de l'Habileté, de la stratégie guerrière, de l'artisanat, de la sagesse et surtout, Protectrice d'Alènes, qui fût plus tard renommée Athènes, par les survivants du peuple, ceux qui étaient restés purs, magrès l'oppression de nos assaillants, et qui avaient grâce a leur pûreté, put me voir, et alors à mon hommage, l'ont renommée Athènes...

C'est ainsi qu'une déesse naquit, et c'est ainsi qu'Athènes fût délivrée...

<gras><italique>Fin.</italique></gras>

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En espérant que mon texte vous auras plu. Bonne chance également a tout les autres participants!