Le client : Surtout n'utilisez pas d'identifiant, c'est pas bien.
Moi : En effet c'est caca, j'en utilise jamais ;)

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Le projet arrive, le HTML n'est pas modifiable, les transferts de fichier se font par un formulaire (qui n'écrase même pas si un fichier portant le même nom existe), des css et js sont déjà en place… joie :(
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Moi : Cette feuille de style a trop de spécificité, elle utilise des identifiant et "!important". Je vais donc devoir les utiliser également pour modifier les styles. Vous pourriez pas la supprimer ?
Le client : Non c'est impossible dans notre système.
Moi : Je ne vais donc pas pouvoir éviter les identifiants, ça va être caca.
Le client : Tant pis utilisez les, on pourra pas changer et il faut que ça sorte.
Moi : Ok, ça va être long, chiant, il y aura des éléments qui risque de sauter quand vous modifierez les contenus (car certaines modifications changent les id) mais on va se remonter les manches.
Le client : ok.

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Du temps passe, l'intégration a bien avancé, dans la douleur mais elle a avancé
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Le client : J'ai vu que vous avez utilisé des ID et c'est caca vous savez ? Ça risque de sauter quand on va changer…
Moi : Bah oui mais votre feuille de style en est truffée, j'étais bien obligé.
Le client : bah il fallait me demander de l'enlever.
Moi : Mais je vous l'ai demandé, on m'a dit que c'était impossible et qu'il fallait donc faire avec les ID.
Le client : ah qui vous a dit ça ? J'aurai pu vous la lever
Moi dans ma tête : enfoiré de fils de…

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La structure est validée (en gros le contenu est pas forcément bon mais toutes les pages/menus sont créés et ne bougeront plus)
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Le client : Faudra bien styler le menu.
Moi : Bah j'avais pourtant déjà fait, ok je le reprend
(relisez ces deux lignes deux, trois, quatres fois)
Moi : bon, je met en pose l'intégration car vous changez tout le temps la structure, donc les id, donc tout saute.
Le client : je vous avez prévenu pour les ID…
Moi dans ma tête : mais putain mange moi les…

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Clés de compréhension, le client c'est plusieurs personnes mais c'est jamais quelqu'un.
Ceci est une histoire vraie (et non terminée), seules les insultes proférées dans ma tête on été modifié pour ne pas heurter le jeune public.