Divinités et êtres supérieurs

I- La réponse
L'univers dans lequel nous évoluons est unique et infini. Tout ce qu'il contient est régi par les lois physiques connues, l'espace, la gravité et le temps. Cependant, sa propre existence est au-delà de la compréhension humaine. L'être suprême qui en est l'âme est connu sous le nom de 'La réponse'. Il est omniscient, tout-puissant, incontesté, eternel et transcende le concept  du bien et du mal.
Il est inutile de comprendre le but de 'La réponse', c'est un être qui défie toutes logiques et n'a pas besoin d'origine pour exister.
Tout ce qui est tangible et compréhensible dans notre univers est une création de 'La réponse'.
II- La dimension temporel
Le contenu de notre univers est soumis à un courant temporel unilatéral infini. Il est impossible de remonter ce courant . Il est cependant tout à fait possible que des événements astronomiques le ralentisse ou l'accélère via une concentration infinie de chaleur ou de masse.
III - Les Eternams
La réponse façonna des mondes abritant des formes de vie primitives en utilisant les éléments cosmiques ; l'air, le feu, la terre et l'eau. Il choisit de placer ces mondes autour d'étoiles incandescentes diffusant la chaleur primordiale aux êtres mortels.
La réponse créa des êtres immortels et égaux entre eux appelés Eternams et les investit du titre de gardien de l'univers . Il leur attribua des pouvoirs dépassant l'entendement tout en leur interdisant de détruire la vie qu'il avait crée. Les dernières consignes étant données, la réponse disparut du plan tangible, plongeant l'univers dans un silence assourdissant.
Durant des temps immémoriaux, les Eternams observèrent l'univers sans interaction aucune avec les formes de vie mortelle.  Les immortels étaient établis près d'une gigantesque planète appelée Ganon où les êtres vivants étaient dépourvu de forme précise et ne dépassait pas dix centimètres tant la gravité de la planète était intenses. Éventuellement, les Eternams s'ennuyèrent ne voyant aucune forme de vie digne d'intérêt  et s'endormirent quelques millions d'années.

IV - L'erreur
À leur réveil, les Eternams reprirent leur observation et remarquèrent que loin de leur planète l'univers était  devenu sombre.
Ils comprirent très vite leur erreur. Ils n'avaient pas conscience de l'immensité de l'univers et une forme de vie belliqueuse s'était développé à des millions d'années-lumières d'eux...
Sur une planète appelée Korus bien plus petite que Ganon, s'était développé une forme de vie parasite géante dévorant le fer qui constitue en large majorité le noyau des planètes. Une fois dépourvues de noyau, les planètes perdent leur champ magnétique et toute forme de vie s'éteint carbonisé par les vents solaires.
En quelques millions d'années, les parasites avaient anéanti des dizaines de systèmes solaires et présentaient une menace pour toute  autre forme de vie.
V - Necrons
Pendant quelques années, les Eternams demeurèrent passifs et étudièrent les parasites. Ils leur donnèrent éventuellement le nom de Necron.
Les parasites étaient des arachnides de plusieurs mètres de haut composé essentiellement de fer leur donnant une apparence métallique. Ils possédaient des poches internent gorgés de fer liquide leur servant à soigner d'éventuelles blessures ou remplacer le fer rouillé. Une fine couche de cartilage séparait le tissu organique de l'épaisse carapace de métal. Pour supporter leur poids élevé, des muscles très développés se cachait derrière le cartilage et étaient alimentés par le sang chargé en oxygène.
Les Necrons pouvaient vivre sous l'eau  grâce à quatre surfaces d'échanges de chaque côté du corps fonctionnant comme un filtre laissant passer l'oxygène contenu dans l'eau vers l'intérieur de l'organisme et le dioxyde de carbone vers l'extérieur.
Pour voyager de planète en planète, les Nécrons accumulaient de l'ammonium qui détone en présence du fer, les propulsant dans l'espace. L'épais mentaux de fer les protègent des vents solaires et une hibernation extrême réduit leur besoin en oxygène totalement leur permettant de survivre à de longs voyages.