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[size=18][color=#000000][b]MITCLANS MOTORCYCLE CLUB[/b][/color][/size]
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          Une chose que je peux vous dire, c'est qu'il y a en a eu des discussions vraiment musclées pour savoir qui allait être convié pour diriger l'équipe qui s'exportait dans l'état de San Andreas. Tout le monde sait que les Mitclans doivent renflouer leurs rangs avec les guerres actuelles. C'est bien ça le problème, le nombre.

Quand le président nous convoque en salle de réunion pour nous prévenir qu'un détachement va s'effectuer à San Andreas, on sait tous pertinemment qu'avec le nombre de perte actuelle, le président va envoyer deux membres maximum pour monter une équipe qui elle, va se baser seulement sur des nouveaux arrivants du club. Ils mettent ça au vote pour élire les deux membres qui se tirent dans le comtés de Los Santos pour former un nouveau chapitre, deux membres qui deviennent donc président, et vice-président des Mitclans de Los Santos.

Le club s'installe dans l'une des villes paumées voisines de Los Santos, Blueberry. Le président de Blueberry est choisi par le président du club original, Egan un irlandais d'une trentaine d'années qui est attaché au club depuis bientôt onze ans et très apprécié des dirigeants du club. C'est généralement lui qui s'occupait du marché des armes, et ce depuis un bon bout de temps. C'est pourquoi, un vote a été proposé par le club pour le choisir lui. Enfin bref, vous vous en doutez bien, je n'écrirais pas ce message si je n'avais pas été choisi, cela va de soit.

Ça fait bientôt trois mois qu'on a quitté New York pour la vie californienne, trois mois que le président des originals nous a donné pour mission de prendre en main le détachement des Mitclans à Los Santos. Au début, ça paraît facile, tu baignes dans ce milieu depuis des lustres, tu as l'habitudes de gérer une petite équipe, tu as avec toi des mecs en qui tu peux avoir confiance. A notre arrivée dans le comté de Los Santos, nous avions personne sur qui compter, juste moi et Egan perdu dans ce merdier qui se nomme Blueberry. Je peux vous dire que du monde, on en a vu passer dans le club house depuis notre arrivée.. arabes; hispaniques; italiens.. des mecs qui jouent de leurs statues pour te proposer tous l'or du monde mais qui n'ont en réalité pas plus que vous.

Au bout d'un mois et demi, le propriétaire des lieux ou nous avions pris place est revenu sur la décision de vendre sa propriété, nous ne sommes pas le profil d'acheteur que cet enfoiré de première recherchait. Nous avons été obligé de partir et d'aménager un bâtiment en plein cœur de Los Santos, entouré de deux autres clubs de " passionnés " comme le notre. Si vous n'avez pas de nouvelle dans les semaines qui vont suivre ce message, c'est que ces enfoirés auront fait alliance pour me descendre, moi et mon club.

Le dernier passage de l’encre sur cette page remonte au moment où mon club était installé sur Main Street. Apparemment l’un des coins les plus paisibles de notre chère ville bien aimée. Inutile de vous faire lire des tas de paragraphes inutiles pour vous dire simplement que les Hell’s Angels ont pris un malin plaisir à venir poser un pain de C4 sur la porte de mon club. Attaque menée par l’un de mes principaux ennemis : Barbie. La virilité au niveau du surnom, c’est pas encore ça, certes.

J’avais établi un lien de confiance entre moi et les italiens du coin, une mafia vraiment puissante et discrète qui fournissait du travail admirable. Seulement après l’explosion de mon club, ma décision était prise et je ne pouvais pas faire marche arrière, nous devions trouver un endroit provisoire qui nous servirait de club house. J’ai, avec l’aide d’un bon ami à moi, trouvé un endroit en ville qui ne se trouve vraiment pas dans le quartier contrôlé par la pègre italienne.

 Le boss de cette pègre, un homme qui se nomme «  La taupe « , a eu le culot de m’imposer une taxe même si je n’étais plus dans leurs coins, ce qui pour moi n’était même pas pensable. J’ai clairement refusé la taxe et demandé à monsieur La taupe et son tas d’italiens d’aller se faire voir. J’ai pour le moment pas de répercussion par rapport à cette histoire, à mon grand étonnement.

 Malgré ses histoires, J’ai à mes côtés un tas de gars qui débordent d’imagination, de loyauté et de détermination. Des gars qui sont prêt à faire des pieds et des mains pour trouver le moindre moyen de se faire le minimum de blé qui nous servirait pour l’achat officiel d’un club house. Je n’aurais jamais pensé arriver à ce stade au moment ou j’ai été désigné avec Egan. Mais désormais je suis là, avec mon équipe, et je ne suis pas prêt à céder ma place au premier batard qui viendra me mettre des bâtons dans les roues. Les hell’s angels vous informeront si vous doutez de notre dangerosité.

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[right][size=10][color=#000000][font=Arial][i]Texte par Mitchell Armann.
Image par Egan McCarthy.
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