"Chut"

La ferme.

Je suis sorti de mon sommeil ce matin,
Endormi dans un cauchemar, mais réveillé et toujours dans ce cauchemar
Réveillé, et forcé de constater comme tout a toujours été gâché
Cette fois c'est parti, je suis un petit peu fâché

Cette fois, on s'aventure sur un chemin un peu trop dangereux, nager dans mes souvenirs c'est comme se noyer dans la mer morte.
Je déteste ce forum si fort, oh et la seule chose que j'attends, c'est qu'on me déteste en retour. Je retourne ma veste ? Nan je l'enlève, un peu de la même façon qu'on m'a enlevé ce(ux) que j'aimais.
Quoi, me faire la morale ? Vous contredisez la vérité derrière ce que je contredis, contrairement à moi, qui l'efface.
« Oh, tu te caches derrière ce pseudo ! », bien, Knifos va arrêter de se cacher derrière Arthur, et de retour au deux trois zéro neuf, il va falloir entrer en transe et réveler son pouvoir immense pour venir faire la une de vos têtes.
Oh, qu'est-ce qu'on s'ennuie, ici, l'envie de dégager me donne envie, mais l'envie ne vient pas à cause de souvenirs enchainés à mes jambes qui m'empêchent d'avancer comme le ferait d'autres.
Bloqué sur le 15-18, j'ai l'impression d'avoir 13 ans, bloqué dans une boucle temporelle de 2016.
Des pâles copies de moi ? Nan, même pas, je préfèrerais encore être le moi âgé de 44 ans que le vous âgé de 13 ans.
Je crois qu'il serait tant que j'avale une boite de benzodiazépines, il est temps de faire envahir par Xana comme dans Code Lyoko, monter le volume de mes écouteurs et le Valium dans mon sang, prenons des neuroleptiques jusqu'à ce que mes yeux piquent, il est temps que je devienne totalement amnésique jusqu'à oublier prénom.
Schyzo, je vais prendre des ciseaux, couper le cordon ombilical entre moi et mes jumeaux, maintenant j'arrête de caresser des siamois.
Vos réponses font crier les anges, donc avant de mourir j'aimerais voir comment crie un Archange, avec ce genre de lignes « les attaches ont lâché ! », oh, bordel, roh, ça pique, outch. Oups, les larmes montent à mes yeux, ahw, concentre-toi pour ne pas penser, va t'isoler, arrête d'être désolé.
Maintenant parlons de choses que je ne fais pas vraiment, baisser les bras pour des choses qui ne me concernent même pas, mais je suis un put4in d'idiot, il est maintenant temps de m'asphyxier.
J'ai préféré montrer mon majeur au destin, ce qui a fait que mineur, j'ai pas touché de seins, et mon Dieu que j'aurais dû, la culpabilité de perdre des choses qui se détruisent, une histoire qui se répète chez ce cher Arthur.
Mais, peut-être qu'« Arthur » n'est pas votre tasse de thé (vous captez ?), peut-être que votre tasse est remplie d'eau pétillante, peut-être que j'ai besoin de me secouer, peut-être en même temps de vous bousculer, faire trembler la terre si vous étiez entre mes mains, maman veut que je me détende, mais vous voulez tous me voir malade, je devrais me détruire totalement, probablement je le ferai, l'ancien moi tue le nouveau moi, regardez-moi saigner à mort, peut-être que je suis déjà mort, je me sens possédé, comme un sort maléfique, j'ai mal rien qu'à regarder un écran de téléphone, trop d'stress pour Knif-O-S.
« Tu n'es pas le même qu'auparavant », je suis le même que bien avant, mais cette fois configuré différement, et un ordinateur ne se code pas lui-même, comprends-tu ?
Je plonge dans mes souvenirs et je revois ces visions, maintenant c'est Knifos qui parle
Je suis au bord de vi0ler l'alphabet, excusez-moi, je vais faire mon mieux pour garder mon sang-froid. Dites-moi, qu'est-ce que vous savez faire ? Oh, me critiquez ? Ce que je sais faire, oh gros, je ne pourrais en rien le démontrer.
On dirait que les expériences à répétitions m'ont amené à être ce que je suis maintenant. Le corps des garçons ? Sans façon. L'âme des filles ? Faibles d'esprit. L'envie de dégager de ce monde devient trop puissante, mes paroles sont comme des balles qui transpercent mon coeur, le garçon à la valve mitrale prolapsée va venir péter une case.
Le demi-dieu se réveille, sa conscience s'éveille. Essayer d'aller voir des assistantes sociales mais finir en monologue, l'impression de survoler leurs talents d'incapable, mais je retiens bien ces imbéciles de ne pas m'avoir fait la bise, elles peuvent rêver pour me revoir chez eux.
Victime ? Miskine. Fragile ? Facile. Pas d'vie ? Ah, j'ris. Messie ? Mais oui. Perdus ? Mes dûs. Virgule ? Pillule. Avorte ! Sale sotte. Gamin ? Ça craint. Sale chien ? Pas rien. dix-huit ? J'fuis oui. Sourire ? Mourir. Franchir ? Ralentir. Grandir ? En pire. Délire ? Désirs.
Il est temps de me regarder dans ces miroirs que j'évite constamment, et d'y foutre mon poing de toutes mes forces.
Si pendant deux secondes vous saviez qui je suis, vous mangeriez des fennecs pour être l'espace d'une seconde sur la même longueur d'onde que moi.
Si vous voulez me critiquer, soyez meilleurs que moi ou au minimum au même niveau que moi, car là c'est un débat de sourds entre une personne qui se sert d'un forum entre un défouloir et des gens qui ne se trouvent même pas dans la conversation, connaissez-moi avant d'être dans le feu de l'action.
Avec mes yeux tout rouges, j'arrive encore à faire les meilleures notes de ma classe, et j'ai l'impression de n'être qu'à 10 %. Faut croire que je suis une Lucy numéro deux.
Knifos ouvre les yeux, c'est indéniable, la fumée sort de ces lèvres, le feu brûlant de son ventre le consume, mon acide gastrique ? Ce que je consomme, mes pupilles se dilatent, c'est l'heure de trembler un tout petit peu, mes mains se contractent et mes sens deviennent trop sensibles.
Quatre heures du matin, je me vois dans les rues d'un Paradis déchu, 1, 2, 3, 4, « AD » étaient les anciennes initales, le monstre s'est évadé, ma rage va s'échapper.
Il est temps de prendre un pieux et de me le foutre dans les deux yeux, puis les oreilles, il est temps de prendre une tronçonneuse et me couepr tous les membres, et que je boive du vitriol jusqu'à m'en détruire les cordes vocales.
Arthur se noie dans ses larmes, mais Knifos a des bronchilles pour le venin.
continuez à vous déglinguer physiquement, de quoi me briser moralement et me tuer socialement, faut croire que je pète les plombs même écclésiatiquement, la pression est trop forte psychologiquement.
Me faire critiquer pour des choses que je ne dis pas, on a besoin de se cacher derrière un miroir pour s'opposer à moi, mais moi je parle de vous, pourquoi se cacher comme ça ?
Et voilà que l'adrénaline me conduit à une hyperventilation, voici que mon coeur bat dix fois en deux secondes, arythmique, j'entends le souffle de mon coeur au milieu de la nuit. La dopamine ? Je m'en passe, mais vos vies, elles me tracassent.
« Yo Arthur, cette dernière année, tu nous as bien fait chier, retourne te cacher »
Oh, vous croyez que vous avez votre mot à dire ? Oups, connaissez ma vie avant de prétendre en faire partie. Pauvreté, mauvaise famille, hein ? Subir mes soeurs, la pression morale de mon père sur ma mère, ma mère dépressive ? Venez perdre tous ceux que vous aimés... quoi, c'est ça qui est supposé faire mal ? Mort de rire, allez demander à une mère qui a perdu son enfant ce qu'elle ressent, le temps d'un instant.
Je vis mort, car je meurs pour mes valeurs, va plutôt sauver ta soeur, avant qu'elle subisse le regard de sales prédateurs.
Oh, on dirait que vous portez vous-même ce fusil à ma tempe, dépressif ? Nan, victime d'un Enfer
Vous tombez toujours plus bas et c'est comme ça que je chute, l'espoir de vous voir remonter mais me faire remonter par ceux que j'aime, je sens que je vais pas le supporter longtemps.
Qu'est-ce qu'il y a dans ce verre ? De l'eau pétillante ou de la pisse ? Car j'ai grave soif, mais j'ai trop peur de ce qui peut pétiller.
Il est temps de me prendre la main pour marcher dans ce tunnel, la lumière est bien loin, mais je vous assure que je vais l'atteindre.
Me tracasser pour tout le monde, me fracasser partout, de retour pour bientôt partir, ce n'est que le début, violons 2018.
De toute façon vous êtes tous pareils, j'ai eu si foi en l'humain, mais maintenant je regrette tellement la moindre chose que j'ai faite, et je sais pas ce qui me retient d'en venir à bout d'Arthur.
Mon cœur s'emballe, ma tension valse, mes pulsions s'enflamment, j'en ai des frissons.
De Braine à Louvain, de Lourdes à Blois, de La Salette à Fréjus, il est temps de marquer mon territoire avec mon propre sang.
Regardez-moi ces forumeurs déphasés, vous n'êtes pas mieux que moi si vous perdez votre temps à lire ce topic, il est temps de me remettre en question ? Il est temps de me poser les bonnes questions.
En 2016 j'avais assez de carburant pour me relever, l'avoir épuisé pour soi, c'est avoir tué ma foi.
Le temps d'avoir de gagner quelques abonnés, de quoi prouver ma popularité, je vais faire un topic hyper-censuré, de quoi pouvoir hypo-dire des fractions de ce que je ressens.
Si je vous disais vraiment ce que je ressens, vos yeux pleureraient du sang, c'est un fait.
Je le suis le héros hétéro aux dommages cérébraux, né d'une division par zéro, je vis dans un domaine que vous ne connaissez pas.
Il temps que ce soi-disant asexuel asocial aux idées asymétriques vienne assiéger sa propre tête jusqu'à détruire ce qu'il a tant aimé.
Arrêtez de refouler ce que vous êtes, soit vois l'êtes, soit vous ne l'êtes pas, mais moi j'admettrai pas un entre-les-deux.
La chose la plus grave qui pourrait arriver, c'est que je perde la foi ou que je perde ma mère. Envie de jouer à pile-ou-face et d'essayer de tomber sur la tranche de la pièce ? Bonne chance.
Une tonnes de sentiments déchirés, de sensations déprimées, d'émotions qui explosent dans mon corps me rende comme une bombe à retardement pour moi-même. Vous laissez portez le dernier coup à mon âme ? Vous pouvez rêver, laissez-moi achever l'achèvement de ma vie.
Vous ne connaissez pas celui qui parle, là.
Pardonnez-moi, car je ne sais pas ce que je fais.