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Jun 22nd, 2018
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  1. Introduction en français
  2.  
  3. Arrivé au sein d’une entreprise dynamique et en perpétuel développement avec l’emploi fréquent de nouveaux éléments, chose que nous pouvons illustrer avec la présence de quatre stagiaires, dont moi, ou encore avec le recrutement durant ces trois mois de trois nouveaux employés, ces-derniers venant (ou revenant) de pays plus ou moins éloignés, que sont par exemple le Canada ou l’Italie, j’ai pu voir trois missions m’être confiées, la plus importante d’entre elle étant la mise en place d’un tableau de bord dans l’open space, afin de répondre à un besoin d’outils de suivi pour cette équipe très active.
  4.  
  5. Introduction in english
  6.  
  7. Arrived in a dynamic company in a constant development with the frequent employment of new elements, thing that we can illustrate with the presence of four trainees, myself included, or with the recruitment during these three month of three news employees, coming (or coming back) from various countries, which are for example Canada or Italy, I had three differents missions, the most important being the setting up of a dashboard in the open space, in order to answer to a lack of tracking tools for this really active team.
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  28. Présentation de l’entreprise
  29.  
  30. L’entreprise, son histoire, sa culture
  31.  
  32. L’histoire commence en 2005 avec la création d’une entreprise au nom différent du nom actuel : Xeonys. C’est alors “le début d’une belle aventure” pour reprendre les mots que l’on peut trouver sur le site web d’In Extenso Digital.
  33. A la base composée d’une petite équipe et vendant ses produits aux cabinets comptable de la région, l’entreprise se développe petit à petit jusqu’à son intégration du groupe In Extenso en 2012, “véritable tremplin pour les projets à venir”. En effet, In Extenso étant implanté sur l’intégralité du territoire national, et ayant de nos jours 220 agences réparties en France, c’est un tout nouveau marché qui ouvre ses portes.
  34. De plus, nous pouvons également souligner le fait qu’In Extenso fait partie d’un groupe d’autant plus grand nommé “Deloitte”, qui n’est autre qu’un des 4 plus importants cabinets d’audit et de conseil mondiaux, avec un effectif de 244 000 personnes réparties tout autour du monde, et des revenus se comptant en milliards en 2017. Et cette information a toute son importance lorsque l’on sait qu’en 2014, Xeonys décide de lancer ses produits à l’international, en travaillant avec les plateformes basées en Angleterre, au Danemark ou encore en Autriche.
  35. Enfin, Xeonys fait peau neuve en 2017 et change de nom pour devenir “In Extenso Digital”, s’intégrant au passage un peu plus dans le vaste réseau In Extenso.
  36.  
  37. Pour ce qui est de la culture de l’entreprise, j’ai assez rapidement compris à mon arrivée que, bien que du sérieux soit bien évidemment requis afin d’accomplir les objectifs fixés, l’ambiance y est détendue et chaleureuse, au sein d’un cadre de travail idéal, rassemblant un open space, une salle de réunion ou encore la salle dédiée à la pause du midi, accueillant entre autre un baby-foot, et adjacente à une vaste terrasse, où selon le guide pratique qui m’a été remis au début du stage, il est possible “d’apprécier le beau temps provençal” le temps d’une pause.
  38. De plus, je me suis rapidement rendu compte que chacun des employés présent ici est passionné par son travail, passionné par ce qu’il fait, toujours à la recherche des dernières nouveautés et toujours enthousiaste à l’idée de se lancer dans un nouveau projet.
  39.  
  40. Aussi, et pour ce qui de l'organisation interne de l’entreprise, j’ai pu assister à deux schémas différents : lors de mon arrivée à In Extenso Digital, l’organisation était telle que des équipes étaient formées afin d’être en charge d’un unique projet, et les interactions entre les différentes équipes n’étaient pas si évidentes que ça.
  41. Pour y remédier, une nouvelle équipe a été créée : l’équipe des “supers heroes” (c’est vraiment le nom de cette équipe). L’objectif de cette équipe est de venir en aide aux personnes en difficultés dans un projet, en résolvant des bugs, des problèmes rencontrés.
  42. De plus, la spécificité de cette équipe est qu’elle change tous les sprints, ces-derniers durant 2 semaines, ce qui permet aux développeurs de ne pas travailler uniquement sur un seul et même projet, et ce qui permettra, à terme, d’être en présence dans l’entreprise de développeurs pouvant travailler sur n’importe quel projet.
  43. L’activité, les produits ou les services
  44.  
  45. L’entreprise est à l’origine de nombreux produits permettant d’accompagner et d’aider au mieux les experts comptables.
  46. Les produits de base sont présents dans le “kit de départ”, et sont au nombre de 5 : “Portal”, “Document Manager”, “Scan”, “Image Posting” et “Dashboard”.
  47. De plus, des applications additionnelles existent également, et sont elles au nombre de 4 : “Invoicing”, “Cashdesk”, “Simple Accounting” et “Benchmark”.
  48. Enfin, de nouvelles applications sont également prévus, et sont pour l’instant au nombre de 3 : “CRM”, “Datawarehouse” et “Notifications”.
  49.  
  50. Présentation des produits disponibles
  51.  
  52. Portal : portail collaboratif pour les professionnels et les clients, avec des une vue différente pour chacun d’entre eux.
  53.  
  54. Document Manager : entrepose, classe automatiquement et permet de partager les documents avec les professionnels et les clients.
  55.  
  56. Scan : permet de scanner une facture et de la transférer à l’application Image Posting de manière parfaitement sécurisée.
  57.  
  58. Image Posting : détecte automatiquement des informations d’une facture sous le format d’une image.
  59.  
  60. Dashboard : tableau de bord avec des indicateurs permettant de suivre l’activité liée aux comptes.
  61.  
  62. Invoicing :
  63.  
  64. Cashdesk : outil permettant d’aider les commerçants dans la gestion de leur caisse
  65.  
  66. Simple Accounting : permet de contrôler ses revenus et ses dépenses par le biais de graphiques et de rapports détaillés.
  67.  
  68. Benchmark : outil d’analyse comparative pour les franchises souhaitant comparer leurs résultats.
  69.  
  70.  
  71.  
  72.  
  73. Les ressources humaines et techniques
  74.  
  75. Pour ce qui est des ressources humaines de l’entreprise, cette-dernière emploie environ une trentaine d’employés, dans des domaines allant de développement back-end (côté serveur) à front-end (côté client) en passant par de la gestion de projets avec des chefs de produits, de la gestion interne, de la vente et du marketing par le biais d’un directeur commercial ou encore du support et de la formation.
  76. De plus, In Extenso Digital est une entreprise très dynamique, de nouveaux employés rejoignant fréquemment la structure, chose dont j’ai pu être témoin avec l’arrivée de trois nouvelle personnes au cours de mes 3 mois de stages. Nous pourrions également parler des offres d’emplois présentes sur le site officiel, actuellement au nombre de 6, autant à temps plein qu’en stage.
  77.  
  78. Le service où l’étudiant effectue sa mission
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  99.  
  100.  
  101.  
  102.  
  103. Travail réalisé
  104.  
  105. Première mission : mise en place de crawlers (bp) pour collecter des documents
  106.  
  107. Cette mission répond à l’émergence d’un besoin d’automatisation dans la récupération de factures dématérialisées. En effet, l’objectif est ici de télécharger de manière automatique des factures que l’on trouvera sur différents sites tel que SFR, Orange ou encore SFR pour ne citer qu’eux. En effet, ce sont plus d’une quarantaine de sites qui nécessiteront la mise en place d’un système de récupération des factures, ces-dernières se comptant parfois par milliers, et étant par conséquent bien trop longues à télécharger une par une.
  108.  
  109. Objectifs prévisionnels
  110.  
  111.  
  112.  
  113. Outils et technologies utilisés
  114.  
  115. NodeJs (Javascript) : cette technologie nous permet ici d’utiliser une des (très) nombreuses librairie disponible pour NodeJs qu’est Puppeteer. Cette-dernière est une API de très haut niveau proposant des fonctions élaborées et très simples à comprendre, et permettant de réaliser la plupart des choses que l’on peut faire manuellement dans un navigateur. NodeJs permet également la mise en place d’un serveur http qui nous permettra de récupérer des requêtes HTTP qui contiendront des informations essentielles comme le nom de compte, le mot de passe ou encore le site sur lequel l’utilisateur a choisi de récupérer ses factures.
  116.  
  117. Postman : permet l’envoi de requêtes HTTP qui serviront à communiquer avec le serveur HTTP et par conséquent à tester le bon fonctionnement du code.
  118.  
  119. Grandes étapes de travail
  120.  
  121. Briefing sur la mission :
  122.  
  123.  
  124.  
  125. Mise en place du serveur HTTP :
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  127.  
  128.  
  129. Créations des connexions aux sites :
  130.  
  131.  
  132. Récupérations des urls de factures :
  133.  
  134.  
  135.  
  136. Téléchargements des factures :
  137.  
  138.  
  139.  
  140. Travail réalisé
  141.  
  142.  
  143.  
  144. Difficultés rencontrées
  145.  
  146. Comme nous pouvons le voir dans la partie tâches effectuées, tous les crawlers n’ont pas été terminés, loin de là. En effet, cela s’explique par de nombreux problèmes, de nombreuses difficultés.
  147. En premier lieu, cette mission étant la première mission m’ayant été confié, j’ai dû m’habituer à l’utilisation de Javascript côté serveur, de son vrai nom NodeJs. En effet, le Javascript étant à la base un langage de programmation utilisé côté client, et n’ayant personnellement jamais utilisé ce langage côté serveur, cela a effectivement pu être quelque peu déroutant au début, un temps d’adaptation ayant été nécessaire.
  148. Aussi, et en même temps que cette découverte d’un nouveau moyen d’utiliser du Javascript, j’ai également dû m’habituer à l’utilisation d’un mac, la marque à la pomme étant complètement inconnue pour moi, ou encore à l’utilisation d’Atom, éditeur de texte différent de ce que l’IUT avait pu nous habituer avec PHPStorm.
  149. Cela étant, et une fois toutes ces découvertes surmontées, j’ai pu m’attaquer au vif du sujet : récupérer des factures dématérialisées de manière automatique.
  150. Vous avez pu voir le principe dans la partie tâches effectuées, la récupération des factures passe par le remplissage de champs pour renseigner le nom de compte et le mot de passe ou encore le click sur certains boutons. Et c’est là que j’ai rencontré les premiers problèmes : quand un élément dispose d’un id permettant clairement de l’identifier, tout va bien. Mais les choses se compliquent lorsque ce même élément n’a pas cet id permettant l’identification. Il faut alors passer par d’autres moyens pour pouvoir le récupérer, en utilisant par exemple sa classe, s’il en a une. Et je dois avouer que la récupération des éléments d’une page a été assez complexe pour moi au début, car je croyais - à tort - que la majorité des sites utilisaient des id sur ses éléments, comme je pouvais le faire sur les quelques sites que j’avais eu l’occasion de réaliser. Or, il s’avère que chaque site est différent, et que la plupart du temps, beaucoup de tests et de bidouille dans la console du navigateur ont été nécessaires afin de parvenir à mes fins.
  151. Cela étant, une fois les divers éléments récupérés, nous pouvons poursuivre la mission. La plupart du temps, une des première chose à faire après être arrivé sur le site est de remplir les champs dédiés au nom de compte et au mot de passe. Or, un nouveau problème assez inattendu est survenu pour un grand nombre de sites : je n’avais pas de compte à ma disposition. En effet, In Extenso n’a pu me fournir des identifiants que pour quelques sites (j’ai par exemple pu avoir accès au compte Orange de mon maître de stage ou au compte EDF de la société), ce qui explique que de nombreux crawlers ne sont pas finalisés.
  152. Par conséquent, considérons ici que nous avons passé la première étape qui est l’authentification avec un compte fourni par In Extenso. Nous sommes désormais connecté, nous pouvons donc nous rendre dans la partie dédiée aux factures. Et c’est là où le bât blesse : pour récupérer des factures dématérialisées, encore faut-il que ces factures soit disponible sur les sites en question, chose qui est très loin d’être le cas pour un grand nombre de sites que j’ai pu visiter.
  153. Imaginons donc que nous sommes dans le cas où des factures dématérialisées sont présentes, il faut désormais les récupérer. Le principe, pour ce faire, a été évoqué dans le point précédent : on récupère l’url du pdf dans le code source et on le télécharge en utilisant Axios. Et vous pouvez vous demander ici quel est le problème ? En fait, le problème est que l’url en question utilisé pour télécharger le pdf n’est pas tout le temps présent en dur dans le code source. En effet, nous pouvons parfois trouver à la place des fonctions appelées lorsque le bouton est cliqué, ayant par exemple pour nom “DownloadPdf()”, et générant cet url. Et cela ne nous arrange pas du tout car l’url du fichier devient bien plus complexe à récupérer : en effet, il faut aller voir ce que fait la fonction en question, et partir de plus en plus loin dans le code source de la page, parfois assez complexe à comprendre.
  154. Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là : en effet, et quand bien même nous sommes en présence de la situation où l’url du pdf est présent en dur dans le code source de la page, il se peut parfois que le site web se rende compte qu’il n’est pas en présence d’un humain, mais bien d’un programme. En effet, il m’est arrivé de tomber sur des sites, comme par exemple Amazon, ne me renvoyant pas le fichier pdf souhaité après l’appel Axios, mais plutôt une page web me demandant de m’authentifier, probablement pour que je prouve que je ne suis pas un robot. De plus, je pourrais également parler des captcha, qui sont bien évidemment très dérangeant puisque utilisé afin de contrer le genre de programmes que je tente de mettre en place.
  155.  
  156. Conclusion
  157.  
  158. Pour conclure, je dirai que cette mission est probablement la moins aboutie de toutes, à cause notamment des nombreuses difficultés rencontrées qui ont pu être citées au-dessus, difficultés parfois difficilement surmontées, parfois trop difficile à surmonter (si ce n’est impossible dans certains cas, ou en tout cas très complexe).
  159. Cela étant, tout n’est pas à jeter dans cette mise en place de crawlers. En effet, 4 d’entre eux ont pu être finalisés (liste des crawlers finis), et tous les autres ont été entamés.
  160. Aussi, et sur le plan personnel, cette mission fut très instructive, car elle m’a permis un premier contact avec cet outil plus qu’intéressant qu’est NodeJs, que je réutiliserai à coup sûr dans d’autre projets. Je pourrai également parler de la découverte de l’éditeur de texte Atom, qui remplacera probablement PHPStorm que j’utilise actuellement, ce-dernier nécessitant malheureusement une licence payante.
  161.  
  162. Deuxième mission : mise en place de sites vitrines pour les produits IED
  163.  
  164. Cette mission répond au besoin de la mise en place d’outils permettant de présenter les différents produits réalisés par In Extenso Digital. En effet, il n’était pas possible de visualiser ces produits avec leurs caractéristiques respectives avant la mise en place de ses sites vitrines.
  165.  
  166. Objectifs prévisionnels
  167.  
  168.  
  169.  
  170. Outils et technologies utilisés
  171.  
  172. HTML : il est somme toute assez logique de retrouver de l’HTML dans une mission consistant en la mise en place de sites vitrines. Et bien qu’il soit vrai que d’autre langages entre en jeu dans les différents sites, comme par exemple le Javascript pour l’animation du côté client ou le CSS pour l’ajout de style à la page web, l’HTML est le seul auquel j’ai touché, les sites ayant déjà été quasiment réalisés entièrement et seul l’ajout de contenu, que sont du texte des photos, étant nécessaire.
  173.  
  174. Google sheets : je pense que de nombreuse personnes connaissent google docs, ce logiciel étant un outil très utile permettant de travailler à plusieurs en ligne sur un même logiciel de traitement de texte. Google sheets permet lui un travail en commun sur un même tableur. Et pourquoi utiliser cet outil ? En fait, les informations à insérer dans chacun des sites vitrines étaient d’abord renseignées dans un google sheets, ce-dernier étant partagé par les différents employés chargés de rédiger les infos en question.
  175.  
  176. Grandes étapes de travail
  177.  
  178. Récupération des informations :
  179.  
  180.  
  181.  
  182. Discussion sur l’insertion des informations :
  183.  
  184.  
  185.  
  186. Insertion des informations :
  187.  
  188.  
  189.  
  190.  
  191.  
  192. Travail réalisé
  193.  
  194. Au cours de cette mission, les sites vitrines correspondant aux produits suivants ont été réalisés : “document manager”, “image posting” et “scan”.
  195.  
  196.  
  197. Difficultés rencontrées
  198.  
  199. Cette mission a probablement été la plus simple des trois qui m’ont été proposées, et par conséquent très peu de difficultés ont été rencontrées durant sa réalisation. Nous pourrions parler du début de la mission qui a vu la découverte du code déjà réalisé pour les sites, et qui a donc nécessité un effort de compréhension afin de se retrouver dans ce qui avait déjà été fait. Cela étant, le code n’étant pas très complexe et bien commenté, cette difficulté a rapidement pu être surmontée.
  200. Nous pourrions également parler des quelques problèmes liés à la taille des images qui étaient parfois trop grandes par rapport à leur taille originale, mais ce problème a également rapidement été résolu.
  201.  
  202. Conclusion
  203.  
  204. Pour conclure cette deuxième mission, je dirais que bien que la difficulté n’ai pas été très élevée, elle n’en reste pas moins terminée, chose que nous ne pouvons pas affirmer pour la récupération des factures de manière automatique.
  205. De plus, et pour être parfaitement honnête, il est plus complexe d’y trouver des choses intéressantes à dire et d’en retirer des potentiels apprentissages sur le plan personnel, les tâches réalisées ayant été plutôt simples. Cela étant, nous pourrions éventuellement parler de la communication nécessaire entre les différentes personnes en charge de ce projet qui a pu être une expérience intéressante.
  206.  
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  208.  
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  210.  
  211.  
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  214.  
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  216.  
  217.  
  218.  
  219.  
  220. Troisième mission : mise en place d’un dashboard pour l’open space
  221.  
  222. Cette mission a pour objectif la mise en place d’un tableau de bord au sein de l’open space afin de pouvoir visualiser à tout moment de la journée l’avancée dans les différents projets. En effet, elle répond directement à un besoin d’outils de suivi, outils très utiles pour les différents chef de produits afin d’organiser au mieux les différents projets.
  223. Des trois missions présentées, celle-ci est probablement la plus importante en terme de temps de travail et de réflexion, et est également probablement la plus intéressante de toutes.
  224.  
  225. Présentation du dashboard
  226.  
  227. Le dashboard est composé de graphiques intitulés “burndown”, “velocity” et “progress” ainsi que de deux widgets correspondant au classement des employés ayant créé le plus d’issues et au classement des répertoires Github les plus actifs. Mais avant de parler plus en détails de ces outils, abordons la notion d’issue qui est ici très importante.
  228.  
  229. Qu’est ce qu’une issue ?
  230.  
  231. Sur Github, qui est la plateforme en ligne permettant de stocker le code et de gérer les projets de développement, une “issue” (ou “problème” en français), est une note ajoutée à un “repository” (ou “dépôt” en français, ce-dernier permettant de stocker le code d’un projet) afin de signaler un bug, de poser une question, d’émettre une requête, de suggérer une amélioration… Ces-dernières sont donc très utiles afin d’organiser au mieux un projet.
  232. De plus, une issue peut également avoir deux statuts, deux états différents que sont “OPEN” et “CLOSED” (ou “OUVERTE” et “FERMÉE” en français).
  233. Enfin, elle est également caractérisée par un “label” (ou étiquette en français), label pouvant être librement ajouté à une issue. Par exemple, les issues d’In Extenso Digital sont regroupées sous trois labels majeurs : “to do”, “in progress” et “done” signifiant respectivement “à faire”, “en cours” et “fait”.
  234. De ce fait, les différents outils présents sur le dashboard sont tous liés à ces fameuses issues, chose que nous allons voir dans la partie suivante.
  235.  
  236. Présentation des outils de suivi du dashboard
  237.  
  238. Burndown : graphique montrant le nombre d’issues ayant pour label “to do” ou “in progress” entre deux dates choisis par l’utilisateur sur deux lignes différentes nommées respectivement “ideal burn” et “actual burn” : le burn idéal est le nombre idéal d’issues à réaliser chaque jour, c’est à dire en faisant passer le label d’une issue à “done”, tout en prenant en compte les week-ends où l’entreprise est fermée, la ligne “ideal burn” ne devant par conséquent pas évoluer, tandis que le burn actuel montre le nombre d’issues réel réalisées chaque jour, depuis la date de départ sélectionné par l’utilisateur jusqu’à la journée en cours.
  239. Velocity : graphique montrant le nombre d’issues fermées chaque semaine, c’est à dire dont le statut a évolué au fil de la semaine de “OPEN” à “CLOSED”. De plus, le Velocity graph affiche également le nombre d’issues fermées moyen par semaine.
  240.  
  241. Progress :
  242.  
  243. Classement des employés :
  244.  
  245. Classement des repos (dépôts) :
  246.  
  247. Objectifs prévisionnels
  248.  
  249.  
  250.  
  251. Outils et technologies utilisés
  252.  
  253. HTML / CSS : afin de mettre en place un site web, l’utilisation du duo HTML / CSS est bien évidemment indispensable. En effet, le HTML est le langage rassemblant le contenu du site, c’est en quelque sorte le squelette, tandis que le CSS est utilisé afin d’ajouter une touche de style à une page web qui serait bien terne sans sa présence.
  254.  
  255. PHP : ce langage est quant à lui utilisé afin de communiquer avec la base de données et récupérer les diverses informations à afficher sur le côté client. A l’inverse du duo présenté au-dessus, le PHP s’assure donc du côté serveur.
  256.  
  257. Javascript : le javascript est quant à lui utilisé ici afin d’animer le côté client et également afin de générer le dashboard avec les informations qu’il aura récupérés par le biais d’appel AJAX. Aussi, il est important de préciser que les graphiques générés sont obtenus en utilisant la librairie nommée “Highcharts.js”.
  258.  
  259. AJAX : outil utilisé afin de mettre en place une communication entre le côté client et le côté serveur : le Javascript récupère les informations à afficher en sollicitant le PHP par le biais d’un appel AJAX.
  260.  
  261. GraphQl : outil utilisé afin de récupérer les informations à stocker dans la base de données en sollicitant l’API Github qui nous donne accès à de très nombreuses données sur les projets en cours, les divers utilisateurs, etc etc …
  262.  
  263. NodeJs : c’est par le biais de NodeJs que l’appel à GraphQl est réalisé et que les informations sont récupérées puis traitées et envoyées à la base de données.
  264.  
  265. MySQL : langage nous permettant la communication avec la base de données.
  266. Grandes étapes de travail
  267.  
  268. Briefing sur la mission et période de conception :
  269.  
  270.  
  271.  
  272. Réflexion sur le visuel du dashboard :
  273.  
  274.  
  275.  
  276. Récupération des informations et mise en place d’une base de données :
  277.  
  278.  
  279.  
  280. Mise en place du dashboard :
  281.  
  282.  
  283.  
  284. Difficultés rencontrées
  285.  
  286. La mission étant la plus importante et la plus complexe de toutes, les difficultés rencontrées ont par conséquent été légion. Nous pouvons parler en premier lieu de GraphQl, qui à l’instar de NodeJs pour la première mission, a été une grande découverte pour moi. En effet, et bien que son utilisation ne soit pas très complexe, il m’a fallu un peu de temps avant de pouvoir assimiler le fonctionnement de ce-dernier.
  287. Nous pourrions également parler des longs moments de réflexion autour de la mise en place ou non d’une base de données. En effet, et comme cela a déjà pu être mentionné plus haut, une autre possibilité s’offrait éventuellement à moi.
  288. Aussi, et pour ce qui est du dashboard et de ses différents outils, nous pouvons également relever des problèmes m’ayant occupé plus ou moins longtemps : en premier lieu, la réalisation du burndown n’a pas été de tout repos. En effet, là ou la ligne “actual burn” nécessite simplement de récupérer un tableau de valeurs, la ligne “ideal burn” a besoin quant à elle d’être générée. Et cette génération, devant répartir équitablement le nombre d’issues à réaliser par jour ou devant prendre en compte les week-ends a pu me donner du fil à retordre.
  289.  
  290. Conclusion
  291.  
  292. Pour conclure cette troisième et ultime mission
  293.  
  294.  
  295.  
  296. Bilan de la formation
  297.  
  298. Nous arrivons à la fin de ce rapport de stage, et par conséquent à la fin de ces deux années de DUT, qui sont passées aussi vite que le rythme de dictée effréné d’un amphi de droit. Et il est vrai qu’il est déjà l’heure de regarder en arrière et de faire le bilan, calmement, de cette formation. Je dois avouer que quand je suis arrivé au sein de l’Institut Universitaire de Technologie d’Aix-en-Provence, j’ai pu avoir des moments de doute, et me demander si ce dans quoi je me lançais était vraiment ce que je voulais faire, si l’informatique était vraiment mon domaine de prédilection. Et je pense qu’après deux années de travail plus ou moins sérieux, d’amphithéâtres partiellement écoutés et d’amusement en partiel les samedis matin, la réponse apportée à cette question est positive.
  299. En effet, j’ai pu me rendre compte que la programmation est réellement un domaine dans lequel je m’épanouis, que ce soit lors de projets seul ou en groupe. Aussi, j’ai pu pleinement tirer parti de l’enseignement de qualité de la formation, même si certains points négatifs seraient, je pense, à relever (et je ne parle pas des blagues douteuses de ce sacré Marc Laporte) : nous pourrions par exemple parler des partiels de programmation réalisés sur papier, chose que j’ai personnellement trouvé très peu adapté à une formation informatique, même si je conçois qu’une certaine organisation serait à mettre en place pour tester les élèves sur des ordinateurs, ou encore de l’organisation de l’emploi du temps qui, selon moi, aurait pu être améliorée sur certains points, certaines périodes de l’année ayant été bien plus chargées que d’autres (je pense par exemple à la fin du 3ème semestre où de nombreux partiels étaient mêlés à des échéances de projets à rendre).
  300. Cela étant, les points positifs sont légion, et ce dans des domaines aussi nombreux que variés : je suis désormais capable de programmer en orienté objet (plus ou moins proprement), de mettre en place un site web, de gérer une base de données, d’administrer un réseau (plus ou moins complexe sachant que le réseau n’est pas la matière principale de la formation), de réaliser de merveilleux dossiers imprimés et reliés, de faire des pivots de Gauss ou encore de réaliser de sublimes courts-métrages dignes des plus grands films Hollywoodien (à noter quand même que la qualité des films produits à l’IUT a pu grandement varier d’un groupe à l’autre, mais je me souviendrai à jamais du Joueur, de l’enquête de l’Inspecteur le Brankar ou du Voyage de Roman).
  301. De plus, ce DUT Informatique m’a également appris à mieux communiquer, à m’exprimer devant un public de meilleure manière par le biais de nombreuses présentations orales, et à travailler en groupe, au travers de nombreux projets réalisés à plusieurs, ce qui a pu également mettre en lumière les difficultés à produire un travail optimal lorsque le nombre de personnes grandit, l’organisation au sein d’un groupe étant toujours très complexe à mettre en place.
  302. Enfin, et pour conclure ces deux années, je dirai qu’au delà des nombreuses nouvelles connaissances acquises, je me souviendrai toujours de ce sublime groupe 3B, transformé en groupe 1A lors de la deuxième année, qui a clairement rassemblé les meilleurs éléments du département, autant par la qualité du travail produit que par le sérieux constant de chacun : je pense notamment à Baptiste Pauletto et à son talent pour l’informatique, à Paul-Romain Chalas et à son amour des fajitas, à Guilhem Pech et à son niveau en CPOA hors du commun, à Edouard Lebeau et à son intérêt un peu trop prononcé pour la musique Despacito, à Jérémie Passerat et à son attachement inconditionnel pour la comptabilité, à Pierre Roman et à ses comics réalisés avec amour et passion, à Corentin Kirscher et à sa musculature parfaitement galbée, à Guillaume Lagay et à son adoration de Kaamelott, à Benjamin Legrand et à ses merveilleux rôles dans l’enquête de Le Brankar ou encore à Cédric Fouquet et à sa passion pour les doggos (ou chiens en langage internet).
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