Depuis le début des années 2000, les nouvelles technologies sont de plus en plus présentes dans nos vies, avec par exemple les smartphones qui étaient presque absents de nos vies il y a dix ans et qui aujourd’hui sont indispensables à la communication et au développement des humains. Il en va de même pour internet qui n’était qu’un petit cocon de développeurs et d’universitaires il y a une vingtaine d’années et qui est aujourd’hui une des fondations du monde moderne, des systèmes des banques jusqu’aux états eux même. La sécurité intérieure doit faire face a ces nouveaux défis et les agences gouvernementales de sécurité comme la NSA, se doivent de parfois espionner les personnes potentiellement dangereuses. Mais cela peut aussi mettre a risque toute la mondialisation, car tous les projets de recherche et tous les secrets ont le risque d’être dévoiles. Mais paradoxalement, internet et les nouvelles technologies permettent aussi un partage des données et du savoir instantané et très précis, ce qui était impossible il y a quelques années et ce qui a permis de grandement augmenter la mondialisation ces derniers temps. Malheureusement, toutes ces questions de sécurité intérieure est difficile à appréhender pour les politiques actuels, souvent peu aisés avec ces sujets et déléguant ces devoirs a d’autres, de ce fait, les drames qui se passent hors de leurs frontières ne sont parfois Pas connus ou passent inaperçu, ce qui est un grand frein a la mondialisation car souvent des grands drames comme les morts lors de l’immigration, un composant majeur de la mondialisation passe inaperçu et ne fait que la ralentir. Le besoin grandissant d’internet est aussi très mauvais pour l’environnement entrainant de grande consommation d’électricité ce qui, là aussi peut freiner la mondialisation car ceux qui contrôlent cet internet sont aujourd’hui les FTN les plus puissantes (les GAFA par exemple). L’article explique bien ces problèmes et aide fortement se poser la question du paradoxe entre internet et les nouvelles technologies responsables de la mondialisation mais aussi destructrices de celle-ci.

En conclusion, la planète est ouverte comme jamais auparavant, grâce aux ouvertures des frontières et des progrès des méthodes de contact, mais la liberté de se déplacer librement dans ce contexte mondialisé est la chose la moins partagée, du moins de nos jours. L’impact de l’environnement pose une vraie question sur le futur de la mondialisation telle que nous la connaissons.