pavé greta L. Alexandre

Mon fantasme sexuel est de gazer les narines du poisson-lune communiste Greta Thunberg. Laurent Alexandre la foutriquerait devant l'hologramme outré du philosophe Hans Jonas, duquel cette créature tire sa praxis catastrophiste.

La bouche mutine de la petite Suédoise serait tubulée de pipelines reliées aux gaz à effet de serre de mon anus. Nous dégusterions chacun un steak au jus tombant sur ses fesses qui coulisseraient de leur propre vouloir le long de techno-chibrons augmentés. Devant elle, un écran aux images défilantes à toute vitesse montrant la fonte progressive de la banquise, Hitler caressant des animaux, des centrales nucléaires qui explosent, Bambi, du CO2 visible à l'œil nu, la carte du QI qu'il ne faut pas diffuser... les possibilités sont infinies.

C'est que M. Alexandre, comme moi, aimons la mignonne, toute vulnérable et totalitaire Greta Thunberg. Tout particulièrement son minois dominateur, insolent, d'autiste à forte mâchoire séchant les cours, machine à humilier nos politiciens qui redemandent, tous transis et frissonnant de plaisir, du fouet écolo claquant sur leur vieille viande de bourgeois blanc consumé par la haine de soi. Une vilaine fille turbulente à remettre dans le droit chemin, indubitablement !

Nous procéderions par étape avec mon wing transhumaniste : tout d'abord, il s'agirait de la provoquer en dégustant des steaks Lidl devant elle. Puis de la rendre folle, inquisitrice, en énumérant la quantité astronomique de produits chimiques, de terres à exploiter et d'eau requise à sa production. Nous aimerions voir ses yeux s'embuer de larmes à l'évocation de leur empreinte carbone, et un coin de son visage s'illuminer d'un sourire pervers à mesure que, la chatouillant, nous lui expliquerions que le techno-capitalisme gagnera toujours, quoiqu'elle fasse.

J'aimerai voir les lèvres pincées de cette adorable et menue autiste, toute pète-sec et hésitante, trembler de rage et esquisser de vaines protestations teintées de plaisir lorsque, alors que nous l'harnachons telle une poupée cyberpunk, nous lui exposerions en quoi le techno-capital est l'avenir inéluctable de l'Homme et son dépassement dialectique nécessaire. Laurent Alexandre lui récitera du Kurzweil et je la bercerais dans mes bras pour la consoler et la refaire sourire après lui avoir révélé que son devenir-cyborg est sur le point de devenir réalité.

"Greta, tu es une autiste inexpressive au regard de poisson crevé, ton logiciel de pensée n'est pas le tien, tu es déjà une intelligence artificielle, mais tu es imparfaite, et nous t'éléverons par delà bien et mal, par delà toute humanité. Nous réalisons là ta nature, ton telos, tu es une plante rare qu'il faut faire bourgeonner."

Nous lui enfoncerons alors impitoyablement la pipeline dans sa bouche, bouche reliée aux pets riches et fertiles de mon anus, ainsi qu'à son limon malodorant. Ligotée, M.Alexandre lui polluera alors pédagogiquement le fion pour la punir de son manque de respect envers les adultes, pour la punir d'avoir sécher les cours. L'éducation sociale-démocrate et républicaine doit être réaffirmée avec force !

Nous discuterons alors, moi et mon wing transhumaniste, de l'impact de mes pets pestilentiels chargés de méthane dans l'élévation topique de la température interne de Greta, de la part déterminante de nos boucles de rétro-éjaculation négative, modéliserons l'insémination totale et sans reste de son éco-système virginal rouge-brun par les coups de boutoir de notre techno-capitalisme socdem triomphant.

L'éducation, selon M.Alexandre, est effectivement l'affaire d'une adaptation de la pédagogie aux désavantagés cognitifs, un enjeu politique de taille pour notre société contemporaine, au regard de l'émergence future d'une IA techno-capitaliste forte. Greta Thunberg, le ventre gonflé de mes pets puissants et virils, en pleine formation républicaine, se mettrait alors d'elle-même à ballonner et léviter, flatulant directement dans l'atmosphère, aggravant son réchauffement, Marianne miraculeuse à propulsion anale de l'apocalypse climatique ! Elle sentirait alors les rayons du soleil s'intensifier et cloquer sa peau pâle, neo-Icare mongole-fière que nous chevaucherions fièrement dans les nuages acides de la stratosphère, lune gazeuse dans un bocal de notre conception fait de chemtrails, d'ozone et de modules de contrôle atmosphérique.

To the moon !