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- 1
- Poème (carnet):
- Une fin (écrit)
- Un soleil noir,
- Un ciel orange,
- Personne ne peut y croire.
- Pourtant ce n’est pas le soir
- Mais où sont-ils ? Les anges...
- Il n’y a plus que des démons,
- Mais qu’est ce qu’ils font ?
- Vous vous faites détruire
- Malgré tout ces rires
- Vous êtes entrain de pourrir.
- Ce soleil noir? C’est votre coeur,
- Il meurt...
- Ce ciel orange ? C’est votre corp,
- Il n’est plus fort...
- Qu’est ce qui vous attend ?
- La mort...
- Je vous laisse à votre triste sort.
- Vous êtes arrivé au dénouement.
- —————————————————————
- Une place (écrit)
- Tu es une proie,
- C’est la loi.
- La justice est un aigle,
- Ce sont les règles.
- Ici, les faibles n’ont pas de place
- Tous sont catégorisés par race
- Ce monde n’est pas si cruel
- Il faut juste savoir rester sur selle.
- Quand tu t’engages dans une rue
- Fais attention que ce ne soit pas une impasse,
- Sinon tu finis reclus
- À la vue des rapaces.
- Si tu renonces à cause d’une impasse
- Tu feras parti de la masse.
- Tu seras pareil que les autres,
- Tu te feras fauché, tu te feras battre.
- —————————————————————
- Respirer (écrit)
- Il faut que je respire.
- Je ne me sens pas bien.
- Il faut que je respire.
- Je n’ai plus goût à rien.
- Il faut que je respire!
- Mon cas s’aggrave!
- Il faut que je respire!
- Je deviens grave!
- Il faut que je respire...
- Je suis désespéré...
- Il faut que je respire...
- Je n’arrive plus à respirer...
- Je ne respire plus.
- Je pleurs.
- Je ne respire plus.
- Je meurs.
- —————————————————————
- Anniversaire (écrit)
- Aujourd’hui est un jour spécial
- Qui change des journées glaciales.
- Une fête en ton honneur
- Qui te fait oublier tout tes pleurs.
- Une démarcation entre deux mondes
- Vers des jours heureux,
- Mais la terre est ronde
- Donc aussi des jours peureux.
- Garde toujours ça à l’esprit :
- Si tu pleurs un jour
- L’autre jour tu ris
- S’il faut que tu cours
- Alors il faut que tu fuis.
- —————————————————————
- Particulière (écrit)
- Une large timidité
- Bien qu’un peu sonné
- Je me résonne.
- Pourtant personne ne me donne
- Une suite à mon tome.
- Ce que je pense de tout ça
- C’est que je perds la foi.
- Je ne cherche peut-être pas mon prince là
- Mais celui qui me trouvera sera mon roi.
- Je ne me montre pas
- Pourtant je suis là,
- Je veux être découvert
- Il faudra avoir du flair.
- Je suis particulière
- Et j’en suis fier.
- —————————————————————
- Moi (écrit)
- A vrai dire
- je ne comprends pas tout.
- En tout cas j’aime rire
- A m’en rendre fou.
- Je me sens innocente
- Mais je suis blessée.
- Je me sens lente
- Mais pas effacée.
- La vérité
- c’est que je ne sais pas grand chose,
- Mais si je n’écris pas en prose
- Je raconte ma réalité.
- Je ne suis pas la plus érudite,
- Ni la plus idiote.
- Il faut quand même que je quitte,
- Que je quitte cette motte.
- Une motte de pensées sombre,
- Dans laquelle je tombe.
- Je suis entrain de fondre.
- Mais elle ne sera pas ma tombe.
- Je suis comme je suis,
- Hors de question je fuis,
- Face à la vie !
- —————————————————————
- Combat (écrit)
- Ça fait si longtemps que ça dure
- À chaque fois je me prend un mur.
- Mon âme s’endort
- Mon corp dolor.
- L’impression que je vais lâcher
- À chaque instant je souffre,
- Je suis au bord du gouffre
- Il faut s’accrocher.
- Je me prend la tête
- J’en deviens pas net.
- Juste besoin d’un câlin
- Si long et enfantin.
- Juste de quoi s’évanouir
- Juste de quoi fuir.
- Je veux juste me déconnecter,
- Je veux juste me planquer,
- Je veux juste aimer.
- —————————————————————
- Lumière (écrit)
- Mais que vois-je au loin ?
- En dehors de l’obscurité.
- Un espèce de point
- Laissant place à la clarté !
- Une main m’est tendu,
- La lumière faiblit.
- Elle est comme battu,
- Elle est comme salit.
- Je la protège et la protégerais,
- Elle qui me sort de cette nuit !
- Plus je reste, plus elle luit !
- C’est certains, je l’aimais.
- Pour tout régler,
- On a tout recommencé.
- Rien n’éteindra ce feu,
- Prenons ce chemin à deux.
- —————————————————————
- VMI (écrit)
- Tout commence à ce moment,
- Frêle et petit,
- Ça y est, c’est la vie
- Ce moment où l’on est enfant.
- C’est aussi là que les parents,
- De la sécurité se portent garants.
- Le temps passe,
- La joie s’efface
- Pour laisser de la place.
- Un vide est créé...
- On essaie d elle combler.
- Il faut continuer,
- Ne surtout pas sombrer.
- Un jour on tombe,
- Mais on se relève pas.
- On arrive aux catacombes,
- On est tombé à plat.
- Une descente aux enfers,
- Qui ne s’arrête jamais.
- Il y a quelque chose qui nous serre,
- On end peut en sortir, on le sait.
- C’est le vide.
- C’est noir et calme.
- Bien que tout y soit fade,
- On est bien dans cet endroit maussade.
- Qu’est-ce qu’il se passe?
- Le noir devient blanc; le froid devient chaud!
- Je reviens à la surface,
- Que ce monde est beau...
- Rien ne grandit, rien ne pousse,
- Mais le monde bouge.
- On aperçoit même de petits oiseaux rouges
- Et des renards avec leur chevelure rousse.
- Bien que tout soit fait de couleurs,
- La vision du coeur et la vision des yeux ne sont plus sœurs.
- On se sent envahit par l’ennui,
- -Finalement les gens qui fuient, je les envis.
- —————————————————————
- 2
- Poèmes(carnet) :
- Cette Chose
- L’humain logique ne pense pas,
- Il démontre, il résonne.
- L’humain illogique ne démontre pas,
- Il ressent, il chantonne.
- Les sciences sont des faits,
- Parfois beaux, parfois laids.
- La littérature est une forêt,
- Qui a pour seul limite ce que vous imaginez.
- Les différences,
- ne peuvent pas y être comptées.
- Les ressemblances,
- En sont la clef.
- Tous sont semblables dans cette diversité,
- En un point central,
- Mais il est impossible de l’exprimer
- C’est là qu’est toute sa subtilité,
- Plus rien à dire, plus rien à écrire, point final.
- —————————————————————
- Elle
- Elle, Elle est si belle.
- Droite, honnête, vaillante,
- Mais aussi forte que frêle...
- Elle comme une étoile filante,
- Peur qu’Elle soit qu’une simple cliente.
- Peur qu’Elle file,
- Même d’une manière si lente .
- Peur qu’en un battement de cil,
- Je glisse de nouveau sur cette pente.
- Elle, Elle sait bercer les âmes,
- Même si j’ai peur des flammes,
- Je sais qu’elle, elle les éteindra.
- Qu’est ce que je l’aime,
- Ce petit bout de femme.
- Surtout quand Elle est dans mes bras,
- Même si je ne comprend pas ce qu’elle sème,
- En moi. C’est comme si toutes les lames
- S’émoussaient.
- Comme si je flottais.
- Tout en confiance je dors.
- Mon rêve ?
- Ne jamais terminer ce moment fort.
- S’il se finissait,
- Je serais comme transpercé d’un glaive,
- Asséché, détruit, mort.
- Heureusement tout cela n’est que pensée.
- Je n’avais que ma fierté,
- Aujourd’hui, à cet Amour, je suis marié.
- —————————————————————
- Les nuits
- Il y en a pleins, pleines de lumières
- Ou bien plus sombres que tout.
- En tout cas comme le lierre,
- Elles se tortillent, elles s’accrochent à vous.
- Elles sont si révélatrices.
- Nous en sommes tous les fils.
- Elles révèlent également la noirceur de tous,
- Elles font devenir l’acier en mousse,
- Et les plumes en piques.
- C’est là qu’il y a un declic.
- -Les nuits, enfer et paradis, resteront prodondes.
- —————————————————————
- Sons
- Une onde tordu
- Un son de rue,
- Il rententit et il fut.
- C’est comme si on pouvait le lire
- Mais on ne peut que le vivre
- L’écouter,
- L’aimer,
- Le détester,
- L’ignorer,
- L’oublier.
- Bon nombre sont ceux que l’on a laisse filer.
- —————————————————————
- Chance
- Un moment, banal,
- Dans des lieux ravagé,
- Des plaines rurales,
- C’est là que tout va commencé.
- L’euphorie si créatrice,
- Fera des ruines un châteaux,
- De petites pierres des joyaux,
- Et recouvre un cadavre de lys.
- La curiosité si intéressée,
- Fait des mystères d’incroyables rêves,
- De l’interrogation une vivace sève,
- Et découvre des voiles étrangers.
- La bonté si jolie,
- Attire la méchanceté comme la folie
- Mais aussi le bonheur et un peu de mélancolie,
- Et dévoile qui nous sommes lorsque l’on rit.
- L’amour si fort,
- Fait tant bien et si mal,
- Fait échappé du noir sidéral,
- Et fait ressentir tant de chose, à tort ?
- La suite est encore à écrire,
- Même si c’était juste pour rire,
- Plus longtemps cela durera,
- Plus de bien ça fera.
- —————————————————————
- Printemps
- La sortie des ombres,
- Le printemps revient,
- Ça fait du bien.
- Toutes choses sobres
- Devient colorée,
- Même en terre reculée.
- La chaleur arrive
- Comme une longue missive,
- On l’utilise comme liaison,
- On se pose des questions
- Avant que l’on nous donne une mission.
- Puis on se dit,
- L’esprit dans le soucis.
- -Pourquoi attendu si longtemps en pleurant.
- Et chacun relève la tête, souriant.
- —————————————————————
- Cycle
- Tout tourne de différentes manières,
- Le monde,
- D’une nuit noire à une aube blonde,
- Les airs,
- D’une liberté à une pesante atmosphère,
- L’esprit,
- Il pleure et il rit,
- La vie,
- Elle commence et elle finit.
- -Tout tourne, toute chose à un cycle
- —————————————————————
- 3
- Poèmes (carnet):
- ML
- Un souffle de vie,
- Une flamme intérieur,
- Un visage qui sourit,
- C’est une jolie fleur.
- Un sentiment profond,
- Mais aussi apparence de surface,
- C’est un tout, nous filons.
- De chaque côté d’une glace,
- Il y a deux âmes semblables,
- Commençant une fable.
- Deux corps l’un contre l’autre,
- Comme une symphonie, liés,
- Tout est harmonieux mais irrégulier,
- Tous deux, en même temps, sautent.
- Deux être qui s’attirent,
- Qui ne cherchait qu’à se fuir,
- Mais ils finissent par se réunir,
- Et, ensemble, fondent comme de la cire.
- —————————————————————
- La vie
- La vie est bien trop triste,
- Les pleures ne cessent jamais,
- On attend tous notre tour sur la liste.
- Comme si le quotidien était devenu un marais,
- Chacun est un jour victime du hasard.
- Ce n’est pas le cas ? Ce le sera tôt ou tard.
- Et si on était en l’air,
- Et si on était dans la mer,
- Peut être tout serait clair ?
- Tout le monde pourrait plaire...
- Seulement tous ne serait pas contenté,
- Certains finiraient par vriller.
- Ce paradis serait alors finis,
- Et redeviendrait un mon brumeux.
- Avancer ? Ce ne serait que pour les curieux.
- L’humanité serait, comme aujourd’hui,
- Un malade dans un hôpital allonger sur son lit.
- —————————————————————
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